27 sept. 2016

solitude...





O ! que j'aime la solitude !
Que ces lieux sacrés à la nuit,
Éloignés du monde et du bruit,
Plaisent à mon inquiétude !
Mon Dieu! Que mes yeux sont contents
De voir ces bois qui se trouvèrent
A la nativité du temps,
Et que tous les Siècles révèrent,
Être encore aussi beaux et verts,
Qu'aux premiers jours de l'Univers !
Saint Amant
envoyé par Tilia 






Contemplation
le silence s'impose
après la vaine agitation

Josette T



Perchée sur le rocher
une chapelle au toit rouge
éclaire la vallée

Marine D


"Entends, artisan des cieux,
La prière du poète,
Et que vienne à moi,
Ta douce miséricorde."

  Kolbeinn Tumason
envoyé par Cergie
 

19 sept. 2016

Waouh !!!!!!!!!!!!!!




"Ne vous croyez ni grand, ni petit ! Contemplez."
V. Hugo




 "Ce bien-être que nous cherchons, il  nous est donné par la beauté du monde.
L'observer, la contempler, c'est un principe de régénération comme l'oxygène"
Jacques Perrin




« La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le mystère des choses... 
La joie de regarder et de comprendre est le plus beau cadeau de la nature. » 
Albert Einstein


14 sept. 2016

s'éclater...

















"Quel était ce feu intérieur qui éclatait parfois dans son regard"
Victor Hugo


 " Mêlez toute votre âme à la création !"
V. Hugo, 

Les Feuilles d'automne
envoyé par Marie-Paule


Éclater,
exploser..
de bonheur ?
de rire ?
de colère ?
de plaisir ?..
La Terre
a son caractère
et ses humeurs
de geyser,
de Geysir !
Tilia 


12 sept. 2016

se baigner...



Plage blanche et eau bleue
 cendre et glace sculptées
 dans l'attente du geyser


Dis mon cœur un jour irais-je

Au pays de glace et de feu
où les oiseaux des neiges
glissent sur l'eau bleue
en un merveilleux manège ?

Dis mon cœur un jour irais-je ?

Au pays où la lumière semble morte
où jaillit la chaleur de sources en dédale
où les vents cruels nous emportent
vers la nuit verte des aurores boréales ?

Dis mon cœur la-bas irais-je ?



Le fulmar polaire fulmine
Contre l'intrus, contre l'arsouille
Qui ternit la blanche hermine
De son abri ; sitôt que mouille
L'esquif que jamais il n'esquive
Furieux, le fulmar l'invective
Son ressentiment il crachouille


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