O ! que j'aime la solitude !
Que ces lieux sacrés à la nuit,
Éloignés du monde et du bruit,
Plaisent à mon inquiétude !
Mon Dieu! Que mes yeux sont contents
De voir ces bois qui se trouvèrent
A la nativité du temps,
Et que tous les Siècles révèrent,
Être encore aussi beaux et verts,
Qu'aux premiers jours de l'Univers !
Que ces lieux sacrés à la nuit,
Éloignés du monde et du bruit,
Plaisent à mon inquiétude !
Mon Dieu! Que mes yeux sont contents
De voir ces bois qui se trouvèrent
A la nativité du temps,
Et que tous les Siècles révèrent,
Être encore aussi beaux et verts,
Qu'aux premiers jours de l'Univers !
Contemplation
le silence s'impose
après la vaine agitation
Josette T
Perchée sur le rocher
une chapelle au toit rouge
éclaire la vallée
Marine D
"Entends, artisan des cieux,
La prière du poète,
Et que vienne à moi,
Ta douce miséricorde."
Kolbeinn Tumason
envoyé par Cergie