Fins duvets de rêves dispersés à tout vent
par des enfants rieurs de voir ces fins cheveux
qui dans les matins bleus montent tourbillonnant
et qui sont de nos jeux les souvenirs heureux.
Amichel
des petites joies ordinaires, quelques images et mots...
Fins duvets de rêves dispersés à tout vent
par des enfants rieurs de voir ces fins cheveux
qui dans les matins bleus montent tourbillonnant
et qui sont de nos jeux les souvenirs heureux.
Amichel
Dans le silence bleu des champs
Dans les nappes de colza
Aux entêtants parfums de cire et de miel
Bordées de coulées d’herbes vives
Dans l’air vibrant et doux
va le promeneur solitaire
dans la tendre lumière du matin
Pour tromper sa mélancolie
s'immergeant dans l'espace atone
Accordé à l’impermanence
Des choses
Où l’agité s’ennuie
Et la vie se repose
Fragile présence de solitude
Dans un simple paysage
Dont les caresses d’aquarelle
Apaisent l’âme poignardée
Par la violence
Le bruit et la fureur
Du temps
Et l’œil blessée
Par les chaos d’images
une haie de platanes
garde d'honneur paisible
le salue
alors
oubliant sa langueur
Dans les courants du vent
un coeur danse
Danse
…..et fait son miel
Des champêtres couleurs
Comme l' abeille avec les fleurs
Amichel
Coulée de lumière
comme aurait pu la tracer
Nicolas de Stael
"Marie était restée dehors, près du tombeau, et elle pleurait. Tout en pleurant elle se penche vers le tombeau 12 et elle voit deux anges vêtus de blanc, assis à l'endroit même où le corps de Jésus avait été déposé, l'un à la tête et l'autre aux pieds. 13 « Femme, lui dirent-ils, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répondit : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais où on l'a mis. » 14 Tout en parlant, elle se retourne et elle voit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c'était lui. 15 Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? qui cherches-tu ? » Mais elle, croyant qu'elle avait affaire au gardien du jardin, lui dit : « Seigneur, si c'est toi qui l'as enlevé, dis-moi où tu l'as mis, et j'irai le prendre. » 16 Jésus lui dit : « Marie. » Elle se retourna et lui dit en hébreu : « Rabbouni » — ce qui signifie maître. 17 Jésus lui dit : « Ne me retiens pas ! car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Pour toi, va trouver mes frères et dis-leur que je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu. »
Saint Jean 20,11-18
Si, à ma mort, je m'aperçois que Dieu n'existe pas, je serai bien attrapé,
mais je ne regretterai pas d'avoir passé ma vie à croire à l'amour"
Jean-Marie Vianney curé d'Ars
Danser la VIE dans un frou frou d'espérance
Danser la VIE sur une mélodie d'amour
Danser la VIE pour re-Naître un jour
agate de verre
tu roulais sur terre,
tes pétales éternels
envoutants de beauté
faisaient ma guerre d'écolier
j'étais fier de te posséder
Blog en pause
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Le vieil arbre incliné
par la tempête
n'oublie jamais
d'annoncer le printemps
fifi
explosion rose
des prunus toujours vaillants
émerveillement d'avril
Fleurs pétillantes
quand le printemps nous salue
respire et sourit !
Un pinceau mutin
pour cueillir le rose et blanc
sur fond noir
arbres en fleurs
tarissent nos pleurs
sur ce monde sans pitié
arbres en fleurs
abreuvent nos coeurs
de leur beauté
arbres en fleurs
comme à honfleur
on prend le large
arbres en fleurs
rappellent le bonheur
de la jeunesse
Ô douce Poésie !
Couvre de quelques fleurs
La triste fantaisie
Qui fait couler mes pleurs.
Roses pétales
Éclats de rire
Le printemps chantonne
proverbe d'antan
au printemps rameaux en fleurs
plus de filles en pleurs
3 enjambées de la ferme
360 ° d'horizon au sommet
1 grand saut pas sot
les filles BRAVO
Un deux trois chamois
Les petits devenus grands
Prêts à s'envoler
Miss Yves
" La poésie c'est le point où la prose décolle "
Léon-Paul Fargue
Je me fiche éperdument que les femmes
aient des seins comme des magnolias ou comme des figues sèches,
une peau de pêche ou de papier de verre.
Je n’attache aucune importance
au fait qu’elles se réveillent avec une haleine aphrodisiaque
ou avec une haleine insecticide.
Je suis parfaitement capable de supporter
qu’elles aient un nez digne de remporter le premier prix
d’une exposition de carottes;
-mais il y a une chose- et sur ce point je suis intraitable- que je ne leur pardonne
sous aucun prétexte, c’est de ne pas savoir voler.
Si elles ne savent pas voler, celles qui prétendent me séduire perdent leur temps!
Sauts de bonheur
La vie danse de joie
Un envol pour tout oublier