« Estimez-vous assez pour désirer d’être aimés non pour ce que vous pensez devoir être,
mais uniquement et simplement pour ce que vous êtes. »
Henri Gougaud
Les deux amants
Nos racines enlacées
Un amour bien caché
Vouloir le proclamer
Pouvoir s'arbre-brasser
Pour garder sa joie
On n'a pas le choix
Du bout des doigts
Toucher du bois
Claire Fo
Il tend ses bras noueux
Le grand arbre vénérable
Beauté et force !
Marine D
"Comme elles tombent bien!
Dans ce trajet si court de la branche à la terre
Comme elles savent mettre une beauté dernière
Et malgré leur terreur de pourrir sur le sol
Veulent que cette chute ait la grâce d'un vol!"
Edmond Rostand
envoyé par Denise
Voici des branches
Voici des feuilles
et de la lumière.
Salut et révérence
à presque toucher terre
L'arbre serti de tous ses ans
compose le tableau.
Maïté Aliénor
Tendre les bras
noueux
Vers nous, vers eux
Dans le vert-Espérance,
Envers et contre tous,
Un grand bol d'air
Pour qui erre.
Les bras noueux
Nous enserrent
Et l'arbre est tendre
Point fier-à -bras.
A bras-le corps
Il capte la lumière
Tendre et tout bas,
Tendre les bras.
Miss Yves
au feuillage
encor vert
le soleil qui rayonne
offre sa parure
d'automne
pour attendre l'hiver
La nature
aime la haute couture
le promeneur ravi
a le cœur qui sourit
Amichel
en ce moment, je relis les sept plumes de l'aigle, donc en totale harmonie avec ta citation............et avec cette lumière filtrée par des feuillages..................
RépondreSupprimerJ'aime Henri Gougaud depuis fort longtemps, depuis les années 70 où il contait à France Inter. J'aime sa voix, son accent ensoleillé... sa parole tout simplement. A l'époque de sa parution, je n'avais pas réussi à accrocher aux "sept plumes de l'aigle", faudrait retenter la lecture :-)
Supprimer
RépondreSupprimerMagnifique !
Il tend ses bras noueux
Le grand arbre vénérable
Beauté et force !
...Magnifique conteur, Henri Gougaud ... Anne me donne envie de lire "les sept plumes de l'aigle" .. je connaissais son auteur, mais pas ce livre... "qui n'est pas un roman, mais qui raconte l'histoire de Luis A.. un homme bien vivant...même s'il tient à rester anonyme"... .je suis allée pianoter sur "google".. et je vais adorer ! merci Anne. Merci Fifi pour cette citation et ta jolie photo de couleur douce, comme l'haut on...
RépondreSupprimerBisous à toutes les deux.
Den
au feuillage
RépondreSupprimerencor vert
le soleil qui rayonne
offre sa parure
d'automne
pour attendre l'hiver
La nature
aime la haute couture
le promeneur ravi
a le cœur qui sourit
Oui, vraiment Amichel, "le promeneur ravi a le cœur qui sourit " ! Ces grands et vieux arbres sont magnifiques !
SupprimerMerci pour eux et pour nous !
Toujours très émue par les arbres, tu dois bien réaliser le genre d'émotions que j'ai ressenties en découvrant cette magnifique photo!
RépondreSupprimerHenri Gougaud, je ne connais que de nom, vue la région où nous habitons, alors je vais me pencher dessus.
Par contre je recommande le livre extraordinaire de Alain Corbin "La douceur de l'ombre" l'histoire de l'arbre de l'antiquité à nos jours. Une vraie bible.
Je vais aller à la recherche du livre d'Alain Corbin, Thérèse et je vais te chercher une vidéo d'Henri Gougaud, il te plaira :-)
SupprimerCes branches qui s'entrecroisent dans cette lumière sont comme de grands bras chaleureux.
RépondreSupprimerMerveilleuse photo, Fifi.
Bisous
"Comme elles tombent bien!
Dans ce trajet si court de la branche à la terre
Comme elles savent mettre une beauté dernière
Et malgré leur terreur de pourrir sur le vol
Veulent que cette chute ait la grâce d'un vol!"
Edmond Rostand
Merci, dès que j'ai 54min 56s...
RépondreSupprimerVoici des branches
RépondreSupprimerVoici des feuilles
et de la lumière.
Salut et révérence
à presque toucher terre
L'arbre serti de tous ses ans
compose le tableau.
Tendre les bras
RépondreSupprimernoueux
Vers nous, vers eux
Dans le vert-Espérance,
Envers et contre tous,
Un grand bol d'air
Pour qui erre.
Les bras noueux
Nous enserrent
Et l'arbre est tendre
Point fier-à -bras.
A bras-le corps
Il capte la lumière
Tendre et tout bas,
Tendre les bras.
coucou....
RépondreSupprimerC'est bien chouette de passer un peu tard sur ton post
le plaisir de la vue,
est si bien complété par les com..
merci..
toute belle journée à toi
bizzz
Une jolie lumière. On voit déjà l'automne.
RépondreSupprimerTu as déjà un bon début de couleurs d'automne, tout en douceur. J'aime ce mélange vert jaune.
RépondreSupprimerLes deux amants
RépondreSupprimerNos racines enlacées
Un amour bien caché
Vouloir le proclamer
Pouvoir s'arbre-brasser
Pour garder sa joie
On n'a pas le choix
Du bout des doigts
Toucher du bois
Becsbecsbecs!!!!
Magnifiques photos, Fifi, inspiratrices de tant de jolis mots.
RépondreSupprimerUne préférence pour la première, je la trouve somptueuse.
Magnifique photo ! J'aime beaucoup les arbres. Ils m'inspirent !
RépondreSupprimerParmi la splendide vêture d'or et d'émeraude de cet arbre, il me semble reconnaître les feuilles d'un tilleul.
RépondreSupprimerRien de tel que l'ombrage d'un tilleul pour faire une bonne sieste, surtout lorsqu'il est en fleurs !
Le poème de Claire Fo semble évoquer la légende de Philémon et Baucis, ces vieux époux unis par les dieux pour l'éternité sous forme d'un chêne et d'un tilleul entrelacés.
Je n'y avais pas pensé. Merci Tilia pour ce joli rappel !
SupprimerPetit bonjour FIFI je repasse plus tard bisou
RépondreSupprimerA plus tard, France !
SupprimerL'arbre de la première photo est magnifique...superbes dégradés de couleurs dans son feuillage!
RépondreSupprimerLa 1ère photo est très belle. Inévitablement, le regard se pose sur ce panaché de vert et de jaune.
RépondreSupprimerJ'aime aussi la sensibilité et la poésie de votre blog.
Heureuse d'être repassée pour la deuxième photo...
RépondreSupprimerH. Gougaud a retenu mon attention, l'interviewer moins :-) Merci pour le lien.
De toute beauté, ces deux photos...!
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