Il n'est rien sous le ciel qui n'ait sa loi secrète,
Son lieu cher et choisi, son abri, sa retraite,
Où mille instincts profonds nous fixent nuit et jour;
Le pêcheur a la barque où l'espoir l'accompagne,
Les cygnes ont le lac, les aigles la montagne,
Les âmes ont l'amour !
Victor Hugo
Une barque sur l'océan
Maurice Ravel
Complete Orchestral Works - Claudio Abbado
Rêverie noyée
Dans l'eau marine se perd
Au fil de lumière
Den
Le vent s'est levé
sur l'eau bleu marine
une barque rouge
Marine Zoup
Clapotis du temps
loin des rumeurs de la ville
pas de vague à l'âme
Miss Yves
Inondée d'azur
qui regretterait la ville
l'âme prend le large
Miss Yves
La barque que l'on retient au port n'apprend pas à naviguer. Laissons-la donc prendre le large...
Jean Maër
Jean Maër
Les barques vides
racontent elles-aussi
des histoires
où les rêves se noient ...
Saravati
« Au fil de l'eau coulant sans bruit,
Triste et beau comme un vieux monarque,
Perche en main, débout dans sa barque,
Le pêcheur aspirait la nuit.
Son extase mal contenue
Rivait, pleins de larmes, ses yeux
Au grand miroir mystérieux
Où tremblait l'ombre de la nue.
L'astre pur, à frissons follets,
Jetait prodigue ses reflets
A cette transparence brune ;
J'entendis l'homme chuchoter :
" C'te nuit ! fait-i' bon d'exister !
Pour voir l'eau s'ens'mencer d'la lune. " »
Maurice Rollinat « Le vieux pêcheur
envoyé par Tilia
"Quand les bateaux s'en vont
Je suis toujours au quai
Mais jamais je ne pars
Et jamais je ne reste
Je ne dis plus s mots
Je ne fais plus es gestes
Qui hâtent les départs
Ou les font retarder..."
paroles: Giles Vigneault
musique: Pierre Calvé
envoyé par Claire Fo
Prélude au "bateau ivre"
La barque a largué les amarres
et vogue seule au fil de l'eau
laissant là ville et tintamarre
pour des cieux nouveaux
nul marin intrépide à son bord
nul voyageur aventureux
rien que la mer bâbord tribord
et les courants impétueux
partir ainsi qu'un bateau ivre
délivré des pontons et des ports
partir au loin tenter de vivre
en affrontant les tempêtes et la mort
« ô que ma quille éclate ! ô que j'aille à la mer ! »
Amichel
Larguées les amarres
tache rouge sur fond bleu
pour quel inconnu
Miss Yves
"Même le plus friable des mots
a des racines dans le soleil
comme le matin des barques sur la mer"
Eugénio de Andrade
poète portugais
envoyé par Colo
racontent elles-aussi
des histoires
où les rêves se noient ...
Saravati
« Au fil de l'eau coulant sans bruit,
Triste et beau comme un vieux monarque,
Perche en main, débout dans sa barque,
Le pêcheur aspirait la nuit.
Son extase mal contenue
Rivait, pleins de larmes, ses yeux
Au grand miroir mystérieux
Où tremblait l'ombre de la nue.
L'astre pur, à frissons follets,
Jetait prodigue ses reflets
A cette transparence brune ;
J'entendis l'homme chuchoter :
" C'te nuit ! fait-i' bon d'exister !
Pour voir l'eau s'ens'mencer d'la lune. " »
Maurice Rollinat « Le vieux pêcheur
envoyé par Tilia
"Quand les bateaux s'en vont
Je suis toujours au quai
Mais jamais je ne pars
Et jamais je ne reste
Je ne dis plus s mots
Je ne fais plus es gestes
Qui hâtent les départs
Ou les font retarder..."
paroles: Giles Vigneault
musique: Pierre Calvé
envoyé par Claire Fo
Prélude au "bateau ivre"
La barque a largué les amarres
et vogue seule au fil de l'eau
laissant là ville et tintamarre
pour des cieux nouveaux
nul marin intrépide à son bord
nul voyageur aventureux
rien que la mer bâbord tribord
et les courants impétueux
partir ainsi qu'un bateau ivre
délivré des pontons et des ports
partir au loin tenter de vivre
en affrontant les tempêtes et la mort
« ô que ma quille éclate ! ô que j'aille à la mer ! »
Amichel
Larguées les amarres
tache rouge sur fond bleu
pour quel inconnu
Miss Yves
"Même le plus friable des mots
a des racines dans le soleil
comme le matin des barques sur la mer"
Eugénio de Andrade
poète portugais
envoyé par Colo