"Elément remarquable du patrimoine forain, cette grande roue de 19 mètres de haut a été présentée pour la première fois à l'exposition universelle 1900 de Paris, par les Etats-Unis. De son sommet, vous pourrez découvrir le village illumné et paré de ses habits de Noël. Un événement à ne manquer sous aucun prétexte !"
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La roue tourne
Et alors ?
Elle n’a pas que des crocs
Diront les optimistes
Inavouables masochistes
Aux baraques foraines
Il arrive parfois
Qu’on gagne le gros lot
Un bel ours en peluche
Une poupée Barbie
Du champagne tiédi
Et si l’on perd
Quelle importance ?
Allez ! Tournez manèges !
Plus haut ! Plus haut ! les balançoires
La mort nous fera rire
Ou peur peut être
Dans le train fantôme
Aux vénéneux frissons
Ivresse de l’horreur !
La barbe à papa
Nous colle au menton
On lancera des confettis
A la volée
Des concetti aux filles
Trop fardées
Les masques de carnaval
Cacherons notre triste figure
La vie est une fête
Qu’on se le dise !
Amichel
Allez viens
mettons nos cache-nez
et embarquons
il n'y aura qu'à se serrer
le ventre un peu tendu
les mains un peu se tordent
mais là haut,
dans le rose gauffré
il y aura nos rires
et nos yeux qui clignotent !
Chris
Le succès est comme une grande roue ; on ne peut vraiment apprécier la vue que l'on a d'en haut que si l'on redescend quelques fois.
Yvon Deveault
envoyé par Clo
Grande Roue illuminée
Au soleil du soir
Comme un tour de magie
Pour une ronde balade
Dans le ciel assombrit
A la rencontre des nuages
Juste avant la nuit
Christine
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La roue tourne
Et alors ?
Elle n’a pas que des crocs
Diront les optimistes
Inavouables masochistes
Aux baraques foraines
Il arrive parfois
Qu’on gagne le gros lot
Un bel ours en peluche
Une poupée Barbie
Du champagne tiédi
Et si l’on perd
Quelle importance ?
Allez ! Tournez manèges !
Plus haut ! Plus haut ! les balançoires
La mort nous fera rire
Ou peur peut être
Dans le train fantôme
Aux vénéneux frissons
Ivresse de l’horreur !
La barbe à papa
Nous colle au menton
On lancera des confettis
A la volée
Des concetti aux filles
Trop fardées
Les masques de carnaval
Cacherons notre triste figure
La vie est une fête
Qu’on se le dise !
Amichel
Allez viens
mettons nos cache-nez
et embarquons
il n'y aura qu'à se serrer
le ventre un peu tendu
les mains un peu se tordent
mais là haut,
dans le rose gauffré
il y aura nos rires
et nos yeux qui clignotent !
Chris
Le succès est comme une grande roue ; on ne peut vraiment apprécier la vue que l'on a d'en haut que si l'on redescend quelques fois.
Yvon Deveault
envoyé par Clo
Grande Roue illuminée
Au soleil du soir
Comme un tour de magie
Pour une ronde balade
Dans le ciel assombrit
A la rencontre des nuages
Juste avant la nuit
Christine
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magnifique à la condition de ne jamais au grand jamais monter dessus
RépondreSupprimerDonc je préfère tes photos
La couleur du ciel et des lumières artificielles vont si bien ensemble.
RépondreSupprimerBoujour
RépondreSupprimerOUI c'est magnifique
mais je vais rester ici trop peur de tomber. Enfin c'est ainsi.
Dominique
RépondreSupprimerJe vais retourner prochainement à l'Ecomusée et j'ai quand même envie de faire quelques tours avec cette vénérable grande roue, rien que pour faire des photos et prendre un peu de hauteur :-)Elle ne tourne pas à un rythme infernal et cela a plutôt l'air d'un joli moment à passer, en douceur !
Magnifique celle ci !
RépondreSupprimerSurtout sur le fond que tu lui as choisi. Bravo.
Pour le joli moment en douceur, ce sera sans moi, j'ai le vertige en haut d'une échelle, alors bon... :(
Bonsoir Fifi,
RépondreSupprimerTes photos sont une merveille et je constate comme hpy que les lumières de la grande roue sont en harmonie avec ce ciel de toute beauté.
Je viendrais bien avec toi pour voir la vue et faire quelques photos. Avec les petites lumières comme cela doit être beau.
Bravo pour ces splendides photos.
Mes amitiés :-)
Denise
je crois que je fais casser l'ambiance ,sorry!!!
RépondreSupprimer------
La roue tourne
Et alors ?
Elle n’a pas que des crocs
Diront les optimistes
Inavouables masochistes
Aux baraques foraines
Il arrive parfois
Qu’on gagne le gros lot
Un bel ours en peluche
Une poupée Barbie
Du champagne tiédi
Et si l’on perd
Quelle importance ?
Allez ! Tournez manèges !
Plus haut ! Plus haut ! les balançoires
La mort nous ferra rire
Ou peur peut être
Dans le train fantôme
Aux vénéneux frissons
Ivresse de l’horreur !
La barbe à papa
Nous colle au menton
On lancera des confettis
A la volée
Des concetti aux filles
Trop fardées
Les masques de carnaval
Cacherons notre triste figure
La vie est une fête
Qu’on se le dise !
PS/
Un poète mendiant
Secouera sa sébile
Nous cracherons dedans
Elle est drôle cette grande roue, elle est gracile comme faite en fil de fer. Elle tient de la remontée mécanique qui ramènerait les promeneurs au point de départ. De la voir ainsi se détacher dans le soir me fait penser à la roue d'un paon. Tu sais, Fifi, que le paon a hérité des 100 yeux d'Argos qui devait surveiller Zeus l'infidèle. J'aime bcp monter sur les grdes roues malgré mon vertige chronique car je peux ainsi regarder partout au coeur et au dessus de la ville.
RépondreSupprimerAmichel
RépondreSupprimerVous êtes dur ce soir, Amichel ! Néanmoins me font rire "le bel ours en peluche" ou "la poupée Barbie" que nous pouvons gagner aux baraques foraines de nos vies.
Nos réjouissances bruyantes, comme beaucoup d'autres choses sont souvent des trompe la mort. Mais n'y a t-il pas parfois des temps pacifiés où nous pouvons dire "oui" ?
Oui à cette jolie roue paisible dans ce décor de miel et de lumière ! bravo Fifi !
RépondreSupprimerMagnifique to, Fifi !
RépondreSupprimerJe me rappelle bien des fêtes foraines de mon enfance, mais je n'étis jamais montée dans une grande roue jusqu'à la fois où nos amis Allemands nous entrainés à le faire au carnaval de leur ville.
Je peux te dire que je n'étais pas du tout rassurée. La vue était belle, mais moi pas à l'aise du tout.
Toum toum toum tou tou tou tou ...
RépondreSupprimer(musique du 3° homme)
Tu as fait un tour?
RépondreSupprimerÇa va, les cervicales, Fifi ?
RépondreSupprimerL'élégance de cette "vieille dame de fer" qui a connu l'expo universelle de 1900 (!) fait penser à une grande roue de vélo qui tient du rêve.
L'écomusée d'Ungersheim cher à ton cœur ne pouvait pas faire dans le néon... et tu as su profiter de l'heure rose pour donner à la roue cet air de fête et non de "foire". Le ciel s'est prêté à ton jeu, et les arbres entrecroisent joliment leurs branches avec les rayons. Je n'aime pas trop les sensations fortes de ce genre de machine dont on n'est pas maître des guidons :-[ MAIS... pour aller voir le village illuminé d'en haut et goûter à la barbapapa d'un nuage (expression empruntée à Amichel...) oui, je t'accompagnerais volontiers !
Pour fêter le passage à 2011, je te sens capable d'y retourner... et si tu attrapes la queue de Mickey, tu auras droit à un deuxième tour, mais tu seras trop occupée... :-)
PS
RépondreSupprimerSuis allée voir le site de l'écomusée : ça semble immense ! Comme aux Galeries Lafayette, à chaque instant, il s'y passe quelque chose !... :-) Tu dois y avoir un abonnement à l'année, non ?
Pas poli, encore une fois, ton vérificateur de lettres =>
m'a dit "impie" tout à l'heure, et là : "fummos"...
ôvô
Odile
RépondreSupprimerNous étions en train de partir quand le ciel s'est mis en rose, orangé, doré, alors fallait encore faire quelques fotossss :-)
Quelle mémoire Odile !!! "la barbe à papa d'un nuage" d'Amichel date de 29 décembre 2008 et comme toi, je savais où elle était nichée :-)
"Assis
le coeur en paix
sans douleur de désir ni souffrance
dans la douceur d'oubli
des sources
du soleil
je grignote
les petits bonheurs
d'un goûter de temps bleu
la barbe à papa d'un nuage
l'appel vif et têtu d'un rouge-gorge
les odeurs multiples du vent
les jeux de chien fou d'un enfant
courant dans l'écume des plages
l'humble gloire des coquelicots
la majesté des blés
la pluie sur les carreaux
et la douceur du perce-neige
ma faim à dents menues
grignote
tous ces riens sans soucis
et bien d'autres
idiot en béatitude
sur la nappe du ciel
j'en ramasse les miettes
pour en nourrir
les rêves tranquilles
du souvenir
oiseaux migrateurs
qui retrouvent les nids
de la mémoire d'été"
Amichel
Ben oui, j'ai un abonnement à l'année et je n'en profites pas assez. Pour Noël c'est un régal !
Et si j'attrape la queue de Mickey, ce sera la fête, jte dis pas !
Le vérificateur il marche avec la météo: "alerte orange" ce soir !
Gros schmoutzzz, Odile !!!
donc, la prochaine photo, tu nous fait voir ça d'en haut? Chiche?
RépondreSupprimerAllez viens
RépondreSupprimermettons nos cache-nez
et embarquons
il n'y aura qu'à se serrer
le ventre un peu tendu
les mains un peu se tordent
mais là haut,
dans le rose gauffré
il y aura nos rires
et nos yeux qui clignotent !
Fifi, j'attends tes photos vues d'en haut :))
Bises voltigeuses
Très chouette, pour se laisser emporter et voir encore plus longtemps le soleil se coucher.
RépondreSupprimerJolie certes mais fait-il très froid en haut dans la bise alsacienne ?
RépondreSupprimerDe tres belles photos mais n'étant pas témeraire en cette pertiode hivervale je prefere rester au chauc :) bravo encore
RépondreSupprimerJ'ai trop le vertige pour ce genre d'attraction LOL
RépondreSupprimerJe vous souhaite un bon week-end Fifi et je vous envoie des bisous bien givrés de notre petite Belgique :)
Le succès est comme une grande roue ; on ne peut vraiment apprécier la vue que l'on a d'en haut que si l'on redescend quelques fois.
[Yvon Deveault]
Grande Roue illuminée
RépondreSupprimerAu soleil du soir
Comme un tour de magie
Pour une ronde balade
Dans le ciel assombrit
A la rencontre des nuages
Juste avant la nuit
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeee
Le ciel est magnifique. Voilà qui reveille des souvenirs. La derniere fois que j'ai osé y monter, moi qui suis sujette au vertige, c'était à Paris en periode de fetes de fin d'année. La vue sur la capitale était vraiment magnifique.
RépondreSupprimerUne belle prise de vue avec ces couleurs dorées ! :-)
RépondreSupprimermagnifique lumière, et belles compositions.
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