"C'était la première fois qu'il leur paraissait être seuls, bien qu'ils eussent vécu côte à côte"
Henri Barbusse
Et la brise du soir, en mourant sur la plage, me rapportait tes chants prolongés sur les flots
Alphonse de Lamartine
Alphonse de Lamartine
Si toutes les filles du monde voulaient se donner la main,
Tout autour de la mer, elles pourraient faire une ronde.
Si tous les gars du monde voulaient bien être marins,
Ils feraient avec leur barque, un joli pont sur l’onde.
Alors on pourrait faire une ronde tout autour du monde,
Si tous les gens du monde voulaient se donner la main
Paul Fort
Tout autour de la mer, elles pourraient faire une ronde.
Si tous les gars du monde voulaient bien être marins,
Ils feraient avec leur barque, un joli pont sur l’onde.
Alors on pourrait faire une ronde tout autour du monde,
Si tous les gens du monde voulaient se donner la main
Paul Fort
“La vie sans poésie et la vie sans infini, c'est comme un paysage sans ciel : on y étouffe. "
Henri-Frédéric Amiel
envoyé par La Licorne
Vient et va le flux
de la mer sous les nuées grises
Il marche sur la grève
Marine D
Les cabines ont la côte
et la côte les cabines
d'où l'on trottine
pour aller à la flotte
Amichel
Crabes et galets
le vent souffle à l'infini
cottages de plage
Miss Yves
envoyé par Oxygène
Tout seul se lover
dans ses souvenirs d'enfance
ciel bleu ou ciel gris
Miss Yves
Belles perspectives
jumelles multipliées
à perdre le nord
Miss Yves
Évanouis l'hiver
rires et voix saisonniers
le vent les ravive
Miss Yves
L'infinie répétition du "même" a son charme...mais finit par lasser...
RépondreSupprimerje préfère l'infinie diversité des vagues, toujours semblables, jamais pareilles... :-)
La diversité est symbole de vie et je comprends ta remarque. Mais l'intéressant pour moi ici, ce sont sur la première image surtout, les lignes qui convergent vers l'horizon :-)
SupprimerJe comprends...et ta photo est très réussie...
Supprimertu nous emmènes au loin...
Ces photos me rappellent tant de jeux entre les "cabines" étant enfant.
RépondreSupprimerToutes les mêmes en apparence, l'une avait des égratignures et l'autre un coquillage collé qui les différenciait.
Belle harmonie, monotonie nuancée par la lumière et ses reflets...chaque jour, chaque moment y est différent.
J'adore l'immensité vers l'infinitude.... et les cabines posées sur le bord de la page, même si elles évoquent une certaine répétition..... me plaisent dans leur simplicité à regarder l'horizon, leur belle harmonie !!
RépondreSupprimerMerci Fifi pour cette magnifique photo si bien offerte à nos yeux !!
Den
La première photo est de toute beauté, photographiée de cette façon, l'impression d'être sur la plage et de me dire que bientôt ces jolies cabines seront pleine de vie lors des vacances.
RépondreSupprimerMerci Fifi de ce très beau partage et bravo à fifille.
Et la brise du soir, en mourant sur la plage, me rapportait tes chants prolongés sur les flots
Alphonse de Lamartine
Si toutes les filles du monde voulaient se donner la main,
RépondreSupprimerTout autour de la mer, elles pourraient faire une ronde.
Si tous les gars du monde voulaient bien être marins,
Ils feraient avec leur barque, un joli pont sur l’onde.
Alors on pourrait faire une ronde tout autour du monde,
Si tous les gens du monde voulaient se donner la main
Paul Fort
En remplaçant "filles" par "cabines" et "main" par "porte" on voit pourquoi cette photo m'a fait penser à "La Ronde autour du Monde" :-)
Merci Fifi, pour ce bel avant goût des vacances
J'aime quand la côte est déserte !
RépondreSupprimerCayeux ? merci pour ce bol d'air et de quiétude !
Fort-Mahon, Naline:-)
SupprimerLa une donne bien l'impression de solitude qu'évoque la citation, et la deux , acec beaucoup d'humour, toujours en référence avec xe qu'écrit Barbusse...la vie à plusieurs ! J'aime le façon dont tu sais nous surprendre, avec tes titres: encore un joli jeu de mot plein de finesse!
RépondreSupprimerC'est la finesse de la réception qui compte :-))
Supprimer(de mon I Phone: j'ai du mal à taper correctement!: jeu de mots avec un s)
RépondreSupprimerc'est vrai , qu'après la solitide, ce sera la multitide, la foultitude, sur la côte!
solitude
Supprimermultitude
“La vie sans poésie et la vie sans infini, c'est comme un paysage sans ciel : on y étouffe. "
RépondreSupprimerHenri-Frédéric Amiel
Côte à côte mais éloignées deux silhouettes qui respirent la solitude à deux...
RépondreSupprimerVient et va le flux
de la mer sous les nuées grises
Il marche sur la grève
J'ai vu à peu près les mêmes cabanes de plage à Cayeux mais elles étaient alors d'une autre couleur. Pourtant on dirait que ce sont les mêmes. Très belle perspective en tout cas et paysage marin.
RépondreSupprimerUne survivance du passé... Une ligne d'horizon proche...
RépondreSupprimerElles sont belles ces cabines toutes ressemblantes et bien entretenues, à se demander si elles sont en location.
Tu me dis que la "poterne" est le prémisse d'une histoire, les cabines ont été le lieu de bien des films et de romans y compris policiers avec Agatha Christie. (Je n'en ai pas en tête pour l'instant)
les cabines ont la côte
RépondreSupprimeret la côte les cabines
d'où l'on trottine
pour aller à la flotte
Merci Amichel, d'avoir fait un tour sur la plage ! :-)
SupprimerTu as les doigts verts, Fifi ! Faire des boutures de rosier ! Le mari de ma voisine en fait aussi, il m'en a donné deux qu'il a récupérés dans l'espace vert près de la maison. Il fait des boutures de fuchsia. Par contre, il a un rosier grimpant superbe, pas fragile du tout qu'il n'a jamais réussi à reproduire !
RépondreSupprimerSinon, je ne fais rien de mes aspérules que les regarder ! Je sais pourtant qu'elles peuvent parfumer les placards et chasser les mites. Elles sont arrivées dans mon jardin avec les pivoines et les hostas récupérés dans celui de ma grand'mère ; au début je croyais que c'étaient des mauvaises herbes, à présent j'en ai partout, on ne peut dire qu'elles sont gênantes, elles sont si légères et basses !
RépondreSupprimer(Bon WEnd à toi, et grosses bises !)
J'aime beaucoup ce graphisme, mélange de nature et d'architecture
RépondreSupprimerCrabes et galets
RépondreSupprimerle vent souffle â l'infini
cottages de plage
Tout seul se lover
RépondreSupprimerdans ses souvenirs d'enfance
ciel bleu ou ciel gris
sur le thème de la maison de vacances
RépondreSupprimerJe te recommande:
Adèle et moi, de Julie Wolkenstein, POL
Tu nous mets l'eau à la bouche, à fifille et à moi :-)
SupprimerBelles perspectives
RépondreSupprimerjumelles multipliées
à perdre le nord
J'ai envie de chanter : "Sur la plage abandonnée, gros galets et p'tits chalets".... ;-)
RépondreSupprimerEvanouis l'hiver
RépondreSupprimerrires et voix saisonniers
le vent les ravive
Elles se ressemblent toutes et celle que je préfère c'est la plus petite, là-bas au bout de la plage, dans les dunes, perdue dans mes rêves océaniques...
RépondreSupprimerBelle soirée Fifi !!!
photos géniales..... !!! il y a même un endroit où chaque cabine porte un nom.....!!
RépondreSupprimerBravo Fifi pour tes photos très graphiques et super bien cadrées
RépondreSupprimerMagnifiques ces jeux de cadrages de cabines.
RépondreSupprimerJ'adore la dernière.
Deux cabines s'aimaient de bois tendre
et devant la mer elles s'unirent
Elles eurent beaucoup de petites cabines
qui s'ouvraient à un paradis où le vent
faisait la pluie et le beau temps.