Vagues furieuses
sur la promenade du sillon
que d'éclaboussures !
"Y'a tant de vagues et de fumée
Qu'on n'arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir"
Qu'on n'arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir"
Michel Berger - Le Paradis blanc
« Quelquefois il (nb: Gesril) levait une armée de tous les sautereaux
qu’il rencontrait,divisait ses conscrits en deux bandes, et nous
escarmouchions sur la plage à coups de pierres. Un autre jeu, inventé
par Gesril, paraissait encore plus dangereux : lorsque la mer était
haute et qu’il y avait tempête, la vague, fouettée au pied du château,
du côté de la grande grève, jaillissait jusqu’aux grandes tours. A vingt
pieds d’élévation au−dessus de la base d’une de ces tours, régnait un
parapet en granit, étroit, glissant, incliné, par lequel on communiquait
au ravelin qui défendait le fossé : il s’agissait de saisir l’instant
entre deux vagues, de franchir l’endroit périlleux avant que le flot se
brisât et couvrît la tour. Voici venir une montagne d’eau qui s’avançait
en mugissant et qui, si vous tardiez d’une minute, pouvait, ou vous
entraîner, ou vous écraser contre le mur. Pas un de nous ne se refusait à
l’aventure, mais j’ai vu des enfants pâlir avant de la tenter. »
envoyé par Miss Yves
La force de la nature...
RépondreSupprimerMagnifique... J'ai une préférence pour la 3ème... Les badauds semblent bien petits face à la déferlante.
Bonne Semaine Fifi.
Très belles photos. On a l'impression que les vagues veulent aller dans les rues de la ville...
RépondreSupprimerVagues furieuses
RépondreSupprimersur la promenade du sillon
que d'éclaboussures !
simplement génial .....et photos superbes ....!!! on y va ??
RépondreSupprimerUn bel endroit. Une bonne idée :-)
SupprimerQue c'est beau. Un grand merci à fifille à Fifi pour ses superbes photos. J'ai de magnifiques souvenirs de Saint-Malo :-)
RépondreSupprimerMerci Fifi pour ce merveilleux partage.
Gros bisous et bon lundi après-midi ♥
Coucou. Si je plisse mon grand nez, je sens les embruns de la mer et c'est vivifiant! Merci pour ce coup de vent et bises alpines.
RépondreSupprimerMagnifiques photos! Merci!
RépondreSupprimerQue c'est beau ! J'adore ! :-)
RépondreSupprimersuperbes photos ! La mer me fait peur, même quand elle est lisse et sereine ! alors tu imagines avec ces énormes vagues !! je n'irai jamais me promener sur ses berges mais pas besoin !
RépondreSupprimeril y a tes photos ! merci ! bises
De bien jolies photos !
RépondreSupprimerC'était plus calme que nous y sommes allés, il y a déjà des lustres.
Nous sommes passés récemment mais en coup de vent, si je puis dire.
Bonne fin d'aprèm et gros bisous
Ta fille a bien su capter la violence et la beauté des vagues .
RépondreSupprimerLa photo 2 pourrait être une peinture .
Vu aujourd'hui un petit reportage sur les "chasseurs de tempêtes" qui photographient les phares : impressionnant!
Quelles belles images !
RépondreSupprimerElles sont très impressionnantes !
La 3e photo est "incroyable" !!!:-)
"Y'a tant de vagues et de fumée
RépondreSupprimerQu'on n'arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir"
Michel Berger - Le Paradis blanc
Chateaubriand se lia d’amitié avec un certain Gesril, voisin de l’hôtel où il résidait et nous partage quelques anecdotes assez cocasses de ses jeux sur la fameuse plage du Sillon.
RépondreSupprimer« Quelquefois il (nb: Gesril) levait une armée de tous les sautereaux qu’il rencontrait,divisait ses conscrits en deux bandes, et nous escarmouchions sur la plage à coups de pierres. Un autre jeu, inventé par Gesril, paraissait encore plus dangereux : lorsque la mer était haute et qu’il y avait tempête, la vague, fouettée au pied du château, du côté de la grande grève, jaillissait jusqu’aux grandes tours. A vingt pieds d’élévation au−dessus de la base d’une de ces tours, régnait un parapet en granit, étroit, glissant, incliné, par lequel on communiquait au ravelin qui défendait le fossé : il s’agissait de saisir l’instant entre deux vagues, de franchir l’endroit périlleux avant que le flot se brisât et couvrît la tour. Voici venir une montagne d’eau qui s’avançait en mugissant et qui, si vous tardiez d’une minute, pouvait, ou vous entraîner, ou vous écraser contre le mur. Pas un de nous ne se refusait à l’aventure, mais j’ai vu des enfants pâlir avant de la tenter. »
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RépondreSupprimerEugène Guillevic
RépondreSupprimerTerrainsVagues
Dans les brisants,
Dans les cris des goélands,
Dans l’écume qui retombe en eau,
Dans la marée qui commence à monter,
Dans le goémon qui s’accroche aux rochers,
Je me convie.
Je m’y retrouve.
Impressionnant ! que d'eau, que d'eau !
RépondreSupprimermerci Fifi.
Félicitations pour ces photos magnifiquess
RépondreSupprimerBonne journée Fifi