Une branche nue
atterrée et pourtant
l'automne s'embrase!
Claudie
Sur le gazon déverdi, passent – comme un troupeau d’oiseaux chimériques – les feuilles pourprées, les feuilles d’or.
Emportées par le vent qui les fait tourbillonner éperdument
Sur le gazon déverdi, passent les feuilles pourprées, les feuilles d’or.
[Chanson d’automne
Marie Krysinska Rythmes pittoresques, 1890]
Emportées par le vent qui les fait tourbillonner éperdument
Sur le gazon déverdi, passent les feuilles pourprées, les feuilles d’or.
[Chanson d’automne
Marie Krysinska Rythmes pittoresques, 1890]
Même à terre
Elle enserre
La branche qui se meurt
Un parterre
Haut en couleurs