22 févr. 2009
19 févr. 2009
15 févr. 2009
briser la glace...
briser la glace
passer de l'autre côté du miroir
ou se noyer dans l'illusion
écouter le chant des sirènes
ou suivre le lapin d'Alice
briser la glace
tendre la main
réchauffer son coeur
à la chaleur du coeur de l'autre délivrer du gel
l'eau vive des sources
Amichel
________________________________________________________________________________________
8 févr. 2009
envol...
Cergie m'a taguée
La règle est simple : il suffit de parcourir son dossier "photos" le plus récent ou le 6ème le plus récent ou le 6ème le moins vieux,
De choisir la 6ème photo dans ce même dossier sans tricher.
De la publier sur son blog.
De tagguer 6 bloggueurs "consentants"
J'ai donc opté pour la sixième...ams... stram...
mais je laisse à celui ou celle qui aura envie d'en faire autant le soin de le faire,
d'attraper le jeu au vol, de choisir la sixième ....du sixième... parce que le jeu se propage très vite et que tous les amis (e) blogueurs sont déjà touchés
____________________________________________________________________________________
La règle est simple : il suffit de parcourir son dossier "photos" le plus récent ou le 6ème le plus récent ou le 6ème le moins vieux,
De choisir la 6ème photo dans ce même dossier sans tricher.
De la publier sur son blog.
De tagguer 6 bloggueurs "consentants"
J'ai donc opté pour la sixième...ams... stram...
mais je laisse à celui ou celle qui aura envie d'en faire autant le soin de le faire,
d'attraper le jeu au vol, de choisir la sixième ....du sixième... parce que le jeu se propage très vite et que tous les amis (e) blogueurs sont déjà touchés
____________________________________________________________________________________
6 févr. 2009
"les racines du ciel"...
Chaque homme dans sa nuit s'en va vers sa lumière.
Victor Hugo
envoyé par Nina
Au pied des fûts de pierre
la lumière qui sourd
des "racines du ciel"
Amichel
La lumière
Tout en bas du pilier
Qu'on se plait à gravir
Pour suivre la lumière
Sans jamais l'attraper
Annick
Victor Hugo
envoyé par Nina
Au pied des fûts de pierre
la lumière qui sourd
des "racines du ciel"
Amichel
La lumière
Tout en bas du pilier
Qu'on se plait à gravir
Pour suivre la lumière
Sans jamais l'attraper
Annick
________________________________________________________________________________________
2 févr. 2009
le lecteur...
ou la lectrice...
Lecteur ou lectrice
prendre entre ses deux mains
un livre
avec le même geste
pour accueillir un visage aimé
Amichel
"La lectrice..." ou "le lecteur": c'est ainsi que Lali introduit en général son commentaire d'un tableau. Le tableau bien souvent d'une lectrice, parfois d'un lecteur. Le pays de Lali est un monde fabuleux dédié au bonheur de lire, au bonheur d'écrire, au bonheur de découvrir la plus merveilleuse collection de toiles dédiées à la lecture, à l'écriture
Je ne regrette qu'un chose n'avoir pas assez de temps pour flâner chez elle...
Comme chez Armando, les catégories sont multiples mais l'essentiel parle d'une passion unique: l'écriture.
28 janv. 2009
promenade hivernale...
"L'habitude de rentrer en moi-même me fit perdre enfin le sentiment et presque le souvenir de mes maux, j'appris ainsi par ma propre expérience que la source du vrai bonheur est en nous, et qu'il ne dépend pas des hommes de rendre vraiment misérable celui qui sait vouloir être heureux
Jean Jacques Rousseau
"Les rêveries du promeneur solitaire"
Jean Jacques Rousseau
"Les rêveries du promeneur solitaire"
envoyé par Nina
Marchant
entre les vignes
son coeur s'est envolé
dans un nuage qui passait
île de douceur
à la dérive
dans la mer bleue
d'un ciel tranquille
le raisin murissait
et l'alouette chantait
et son coeur était libre
grenade ouverte
où
le poème affamé
de ce matin limpide
mord
et le vent
dans ses yeux
sèche
le jus de la grenade rouge
les corbeaux sévères
battaient l'air
de leurs ailes
de mort
mais
les moineaux tournaient
en rondes joyeuses
Marchant
entre les vignes
son coeur s'est envolé
dans un nuage qui passait
Amichel
_______________________
Marchant
entre les vignes
son coeur s'est envolé
dans un nuage qui passait
île de douceur
à la dérive
dans la mer bleue
d'un ciel tranquille
le raisin murissait
et l'alouette chantait
et son coeur était libre
grenade ouverte
où
le poème affamé
de ce matin limpide
mord
et le vent
dans ses yeux
sèche
le jus de la grenade rouge
les corbeaux sévères
battaient l'air
de leurs ailes
de mort
mais
les moineaux tournaient
en rondes joyeuses
Marchant
entre les vignes
son coeur s'est envolé
dans un nuage qui passait
Amichel
_______________________
Depuis bien longtemps je veux continuer ma promenade automnale et amicale...
Vu le temps que cela a pris, ce sera une promenade hivernale..
De ma fenêtre j'ai vu passer un jour, un promeneur silencieux, dont l'intitulé m'a fait
rêver, m'a fait réfléchir: "Du bleu dans mes nuages"...me suis demandée qu'elle était ma portion de bleu ce jour là dans mes nuages ? Suis donc allée voir.....pour avoir des idées...
J'ai d'abord été un peu perdue par la richesse et le nombre des rubriques mais après, j'ai continué à pousser les portes et j'ai aimé. J'ai aimé l'humour, la poésie, les images, le ton enjoué et amical d'Armando ! Le Portugal est très largement représenté dans ses "Catégories" Avis à mes amis bloggeurs et portugais !
Tiens, aujourd'hui, il y a une rubrique intitulé "La tour de Bélem" dans "Mes mercredis au Portugal"
Allez voir ! Vous trouverez de quoi lire, regarder, rire, même chanter et vous réjouir !
De quoi mettre Du Bleu dans Vos nuages !
________________________________________________________________________________
23 janv. 2009
Au bord de l'étang
Au bord de l'étang
haies de fragiles roseaux
des oiseaux s'y cachent
Amichel
De fragiles roseaux
Qui trempent dans leur eau
Enveloppée de silence
Annick
L'étang reflète,
profond miroir
La silhouette
du saule noir
Ou le vent pleure...
Paul Verlaine
envoyé par Nina
haies de fragiles roseaux
des oiseaux s'y cachent
Amichel
De fragiles roseaux
Qui trempent dans leur eau
Enveloppée de silence
Annick
L'étang reflète,
profond miroir
La silhouette
du saule noir
Ou le vent pleure...
Paul Verlaine
envoyé par Nina
________________________________________________________________________________________
5 janv. 2009
29 déc. 2008
"Le bonheur est une petite chose que l'on grignote,assis par terre, au soleil." Jean Giraudoux
Que l'humour et la gaité l'emporte sur la morosité du dehors et du dedans !
Que notre solidarité soit plus forte que nos égoïsmes !
Que notre respect des différences et l'accueil de l'autre soient plus forts que nos peurs !
A toutes et à tous, je vous souhaite plein de bonheurs à grignoter, "assis par terre, au soleil", ou debout à l'ombre, ou en train de recueillir des gouttes de pluie dans vos mains, ou de goutter le vent sur le visage...ou en train de regarder la neige qui tombe...
A toutes et à tous, je vous souhaite plein de bonheurs à grignoter, "assis par terre, au soleil", ou debout à l'ombre, ou en train de recueillir des gouttes de pluie dans vos mains, ou de goutter le vent sur le visage...ou en train de regarder la neige qui tombe...
Que l'Année à venir vous soit Belle, Douce et Joyeuse !
Assis
le coeur en paix
sans douleur de désir ni souffrance
dans la douceur d'oubli
des sources
du soleil
je grignote
les petits bonheurs
d'un goûter de temps bleu
la barbe à papa d'un nuage
l'appel vif et têtu d'un rouge-gorge
les odeurs multiples du vent
les jeux de chien fou d'un enfant
courant dans l'écume des plages
l'humble gloire des coquelicots
la majesté des blés
la pluie sur les carreaux
et la douceur du perce-neige
ma faim à dents menues
grignote
tous ces riens sans soucis
et bien d'autres
idiot en béatitude
sur la nappe du ciel
j'en ramasse les miettes
pour en nourrir
les rêves tranquilles
du souvenir
oiseaux migrateurs
qui retrouvent les nids
de la mémoire d'été
Amichel
_______________________________________________________________________________
le coeur en paix
sans douleur de désir ni souffrance
dans la douceur d'oubli
des sources
du soleil
je grignote
les petits bonheurs
d'un goûter de temps bleu
la barbe à papa d'un nuage
l'appel vif et têtu d'un rouge-gorge
les odeurs multiples du vent
les jeux de chien fou d'un enfant
courant dans l'écume des plages
l'humble gloire des coquelicots
la majesté des blés
la pluie sur les carreaux
et la douceur du perce-neige
ma faim à dents menues
grignote
tous ces riens sans soucis
et bien d'autres
idiot en béatitude
sur la nappe du ciel
j'en ramasse les miettes
pour en nourrir
les rêves tranquilles
du souvenir
oiseaux migrateurs
qui retrouvent les nids
de la mémoire d'été
Amichel
Inscription à :
Articles (Atom)
Archives du blog
- ► 2015 (89)
- ► 2013 (137)
- ► 2012 (108)
- ► 2011 (84)
- ► 2009 (87)