"Avec le pampre de la vigne, Un bout de cotillon lui fis
Mais la belle était si petite, Qu'une seule feuille a suffi"
Georges Brassens
Vrilles dansantes
et pesanteur défiée
la vigne gracieuse
et pesanteur défiée
la vigne gracieuse
...Autrefois, ses pampres sans nombre
S'entrelaçaient autour du puits,
Père et mère goûtaient son ombre,
Enfants, oiseaux, rongeaient ses fruits...
Alphonse de Lamartine
envoyé par Denise
Autrefois, le rossignol ne chantait pas la nuit. Il avait un gentil
filet de voix et s’en servait avec adresse du matin au soir, le
printemps venu. Il se levait avec des camarades, dans l’aube grise et
bleue, et leur éveil effarouché secouait les hannetons endormis à
l’envers des feuilles de lilas.
Il se couchait sur le coup de sept heures, sept heures et demie, n’importe où, souvent dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain.
Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune sarment, le jabot en boule et la tête inclinée, comme avec un gracieux torticolis. Pendant son sommeil, les cornes de la vigne, ces vrilles cassantes et tenaces, dont l’acidité d’oseille fraîche irrite et désaltère, les vrilles de la vigne poussèrent si drues, cette nuit là, que le rossignol s’éveilla ligoté, les pattes empêtrées de liens fourchus, les ailes impuissantes.
Il crut mourir, se débattit, ne s’évada qu’au prix de mille peines, et de tout le printemps se jura de ne plus dormir, tant que les vrilles de la vigne pousseraient.
Dès la nuit suivante, il chanta, pour se tenir éveillé :
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse,
Je ne dormirai plus !
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse…(...)
Il se couchait sur le coup de sept heures, sept heures et demie, n’importe où, souvent dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain.
Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune sarment, le jabot en boule et la tête inclinée, comme avec un gracieux torticolis. Pendant son sommeil, les cornes de la vigne, ces vrilles cassantes et tenaces, dont l’acidité d’oseille fraîche irrite et désaltère, les vrilles de la vigne poussèrent si drues, cette nuit là, que le rossignol s’éveilla ligoté, les pattes empêtrées de liens fourchus, les ailes impuissantes.
Il crut mourir, se débattit, ne s’évada qu’au prix de mille peines, et de tout le printemps se jura de ne plus dormir, tant que les vrilles de la vigne pousseraient.
Dès la nuit suivante, il chanta, pour se tenir éveillé :
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse,
Je ne dormirai plus !
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse…(...)
Colette
Les vrilles de la vigne
Arabesques graciles et légères
dans le vent de l'été
dansent les vrilles de la vigne
pour célébrer
l'opulence des grappes
et la saveur du vin nouveau
qui mûrit au soleil
en attendant de couler du pressoir
dans de vieux fûts de chêne
le pampre tout entier
s'en trouve magnifié
dans le vent de l'été
dansent les vrilles de la vigne
pour célébrer
l'opulence des grappes
et la saveur du vin nouveau
qui mûrit au soleil
en attendant de couler du pressoir
dans de vieux fûts de chêne
le pampre tout entier
s'en trouve magnifié
Ivre de lumière
le pampre trace des courbes
le vin sera bon
Miss Yves
Volutes et volupté...
Poème dit-vin
Promesses de vent-d'anges...
Claire Fo
Acte I
Vrilles en liberté
S, C et leur crochet
Les lianes batifolaient
Ne sachant où s’accrocher.
Acte II
Les grappes alourdies par l’été
Avaient tâche annoncée
Leur capital soleil à compléter
Avant d’être déclarées dorées à souhait.
Maïté Aliénor
"La Vigne" (à Jean-Yves B. autrefois calligraphe)
Mon cher Jean-Yves,
S'il m'arrive, certes, de penser à toi, j'ai aujourd’hui une raison plus particulière de Ie faire ; c'est que je suis en contrariété avec ma vigne. Eh quoi ! toujours monter vers le soleil ! Moi qui la voudrais rampante et docile à habiller ma tonnelle !
Tu ne vois pas le rapport ? C’est que, précisément, en surveillant ces vrilles indépendantes qui refusent de m'obéir, je crois voir dans l'ombre verte comme le lacis d'une belle écriture.
En voici une qui projette son arc tendu terminé en crochet. N’est-ce-pas le jambage d'un A ? Une autre se divise en fourche ; ce pourrait être un y. Dans une boucle bien serrée je reconnais la cédille d’un grand C dessiné dans l'air. Un I et un L se sont agrippés, un V se renverse. Toute une phrase en lettres majuscules parle une langue indéchiffrable. Une guirlande de mots inconnus déploie ses paraphes sur le bleu du ciel. Il y a un message dans l’entrelacement de ces vrilles et, à mon avis, il signifie : "pourvu que Jean-Yves n'ait pas laissé
retomber sa plume, et que dans le monde affairé de Paris, il trouve encore du temps pour couvrir de courbes et de boucles les pages blanches comme il savait si bien le faire".
C'est le vœu que je forme pour toi.
À bientôt j'espère.
Marthe Seguin-Fontes
"Lettres de mon Jardin"
envoyé par Odile
Courbes et volutes
exposition d'Art Nouveau
vois ce vert divin
Miss Yves
La vigne vrille
elle tortille ses crochets
s'arrime pour durer
elle sait que dans son corps
circule un trésor
Marine Zoup
Que du bonheur cette photo nature.
RépondreSupprimerBon été, et flânerie dans cette superbe nature.
RépondreSupprimerQue c'est gracieux!
RépondreSupprimerMême si Brassens confond"pampre" et feuille de vigne,dans sa chanson"A l'eau de la claire fontaine", ce sont de bien jolis vers qui s'accordent bien avec ta photo et les arabesques de la danseuse:
RépondreSupprimer"Avec le pampre de la vigne, Un bout de cotillon lui fis
Mais la belle était si petite, Qu'une seule feuille a suffi"
Vrilles dansantes
RépondreSupprimeret pesanteur défiée
la vigne gracieuse
Ta photo est magnifique et c'est promesse d'un bon vin... La vigne est belle.
RépondreSupprimerBel après-midi, Fifi
Gros bisous
...Autrefois, ses pampres sans nombre
S'entrelaçaient autour du puits,
Père et mère goûtaient son ombre,
Enfants, oiseaux, rongeaient ses fruits...
Alphonse de Lamartine
Denise, cette jolie strophe me fait ressortir, par cœur, depuis l'époque de mes CE2, ce poème du même Alphonse, Grand Romantique devant l'Éternel :
Supprimer"Autour du toit qui nous vit naître
Un pampre étalait ses rameaux;
Ses grains dorés, vers la fenêtre,
Attiraient les petits oiseaux.
Ma mère, étendant sa main blanche,
Rapprochait les grappes de miel,
Et les enfants suçaient la branche,
Qu'ils rendaient aux oiseaux du ciel."
[...]
Curieuse de savoir si ce sont là deux extraits d'un même recueil :
(Méditations poétiques - 1849)
Ma réponse à Odile s'est envolée... :-)
SupprimerFifi, voici ce que je répondais à Odile:
Bonsoir Odile, mon extrait vient du titre "La vigne et la maison (II)"
Belle soirée et bon dimanche.
Colette : Les vrilles de la vigne (extrait)
RépondreSupprimerAutrefois, le rossignol ne chantait pas la nuit. Il avait un gentil filet de voix et s’en servait avec adresse du matin au soir, le printemps venu. Il se levait avec des camarades, dans l’aube grise et bleue, et leur éveil effarouché secouait les hannetons endormis à l’envers des feuilles de lilas.
Il se couchait sur le coup de sept heures, sept heures et demie, n’importe où, souvent dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain.
Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune sarment, le jabot en boule et la tête inclinée, comme avec un gracieux torticolis. Pendant son sommeil, les cornes de la vigne, ces vrilles cassantes et tenaces, dont l’acidité d’oseille fraîche irrite et désaltère, les vrilles de la vigne poussèrent si drues, cette nuit là, que le rossignol s’éveilla ligoté, les pattes empêtrées de liens fourchus, les ailes impuissantes.
Il crut mourir, se débattit, ne s’évada qu’au prix de mille peines, et de tout le printemps se jura de ne plus dormir, tant que les vrilles de la vigne pousseraient.
Dès la nuit suivante, il chanta, pour se tenir éveillé :
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse,
Je ne dormirai plus !
Tant que la vigne pousse, pousse, pousse…(...)
@ Colo
SupprimerC'est vraiment très chouette d'associer à cette image la très belle page de Colette sortie des "Vrilles de la Vigne". Je suis ravie de la retrouver ici. Merci de nous la faire partager avec tant d'à propos !
Ça me touche d'autant plus de la relire que, depuis plusieurs semaines, je guette et observe avec étonnement et curiosité un drôle d'oiseau qui vient encore régulièrement sur le banc de la terrasse, souvent à l'écart des autres.
J'ai eu du mal à l'identifier les premiers jours, car sa très petite taille et la forme globale pouvaient faire penser à un troglodyte, alors que le gros œil noir bien rond rappelait celui du rougegorge, bien que les plumes et le poitrail en particulier n'en avaient pas la couleur : un brun marron tacheté de stries un peu comme les grives, avec le ventre plus clair et la gorge un peu roussâtre. Je misais alors pour un rossignol, peut-être, oiseau dont je n'ai encore jamais vu la couleur et dont l'ébouriffage aurait pu être celui raconté par Colette dans "Les Vrilles de la Vigne"...
Il m'a fallu des recherches et des échanges de photos avec des ornithos de la LPO pour apprendre qu'il s'agissait là, plus vraisemblablement, d'un rougegorge juvénile, tout juste sorti du nid, et dont l'aspect du plumage allait évoluer, pendant plusieurs semaines, en changeant peu à peu de couleurs pour atteindre, plus tard, le plumage d'adulte avec, en particulier, l'apparition progressive du plastron éclatant si caractéristique... Un phénomène, m'a-t-on indiqué, assez exceptionnel à observer...
Effectivement, j'ai eu la chance de suivre cette évolution au cours de laquelle le plumage est passé par plein de phases et de nuances : du chiffonné au lisse et du brun à l'orangé. En même temps, de jour en jour, les commissures du bec ont changé : il a maintenant presque perdu les restes du soufflet caractéristique du "grand entonnoir" des oisillons pendant la phase de nourrissage.
Depuis cette découverte, j'ai tenté de l'inciter à revenir pour l'observer un peu plus longtemps, en laissant traîner quelques menues graines... Il devait être encore très jeune puisque, à plusieurs reprises, j'ai eu le bonheur d'assister, aussi, en direct, à la becquée donnée par l'un et l'autre des parents à la gorge bien flamboyante, venant aussi, à tour de rôle sur le banc. Il devait donc bien s'agir d'un bébé rougegorge, et non d'un... "Rossignol-Colette"...
Comble de chance, j'ai pu assister, en même temps, et pour la première fois aussi, à la mue des adultes (père ou mère ?) : le plumage complètement "dépenaillé", plumes en bataille, ébouriffées, un peu miteuses. Étonnant à découvrir ! Ce double spectacle m'a, dans l'affaire, réjouie des vacances forcées à la maison cette année, temps béni qui m'offrait autant de découvertes (même si, déçue, je n'avais pas sous les yeux le Rossignol-Colette...)
Colette quant à elle, observatrice hors-pair, amoureuse de la nature - et à l'imagination débordante - avait sans doute fait "le lien" avec l'ébouriffage des oiseaux à certaines périodes...
Je regarde maintenant mes ébouriffés à la gorge rouge, jeunes ou adultes, d'un œil nouveau et les imagine aussi, quand même eux ne chantent pas la nuit, empêtrés peut-être, au petit matin, dans les vrilles de la vigne. Je souris et frémis en même temps à l'idée du spectacle... Je vais essayer de leur chanter :
"Tant que la vigne pousse, pousse, pousse… (...)"
-----------------------------------------------------------------------------------------------
De belles photos sur le net en cherchant à "images rougegorge juvénile".
Je déguste actuellement un petit ouvrage très bien documenté, intitulé tout simplement : "le rouge gorge" de Georges Olioso, naturaliste passionné-passionnant, dans la collection "Les sentiers du Naturaliste" aux éd. delachaux & niestlé.
Merci Odile pour cette belle observation répercutée ici à propos "des vrilles de la vigne" !
SupprimerArabesques graciles et légères
RépondreSupprimerdans le vent de l'été
dansent les vrilles de la vigne
pour célébrer
l'opulence des grappes
et la saveur du vin nouveau
qui mûrit au soleil
en attendant de couler du pressoir
dans de vieux fûts de chêne
le pampre tout entier
s'en trouve magnifié
Pour vous Amichel une grappe en forme de poème :-)
SupprimerMerci pour ces "Arabesques graciles et légères
Le "Sang des Saisons" coule sous votre plume, Amichel !
SupprimerC'est pur bonheur de vous lire ;-)
Au fil... des arabesques de Fifi...
RépondreSupprimerJ'adore la manière dont la nature défie l'espace...
Plus belle que jamais.
Superbe photo !
Bel été Fifi !!
Au fil des photos
RépondreSupprimerau fil des vrilles
au fil de fifi
tout est lien.
Une préférence pour cette belle première photo... en écriture de la vigne.
RépondreSupprimerLa première photo m'a tout de suite fait penser à l'écriture hindoue, dans laquelle des vrilles se déroulent à partir d'une tige rectiligne :
RépondreSupprimerबेल = vigne en écriture Hindi
अरब देश का = arabesque
Des photos très rafraichissantes par ce temps de fortes chaleurs
Merci Fifi !
Magnifique... La nature écrit la beauté... faut-il encore le savoir !
RépondreSupprimerMerci !
SupprimerIvre de lumière
RépondreSupprimerle pampre trace des courbes
le vin sera bon
Volutes et volupté...
RépondreSupprimerPoème dit-vin
Promesses de vent-d'anges...
Toute mon affection Fifi. Câlinsss!!!!
Vite ..;vite que je vienne sentir le parfum des raisins fraichement cueillis et écouter les rires de vendangeurs à la fin du jour , dans les petits wagons plein de grappes odorantes ...Dès que je sais , je te dirai ...:-)
RépondreSupprimerBisous Fifi
Acte I
RépondreSupprimerVrilles en liberté
S, C et leur crochet
Les lianes batifolaient
Ne sachant où s’accrocher.
Acte II
Les grappes alourdies par l’été
Avaient tâche annoncée
Leur capital soleil à compléter
Avant d’être déclarées dorées à souhait.
Boa tarde,
RépondreSupprimerA sua foto das belas uvas é fantástica, a natureza desafia tudo porque é perfeita, dá-nos a beleza para ser apreciada.
Dia feliz
AG
http://momentosagomes-ag.blogspot.pt/
Une belle photo en vert majeur, sur joli fond flou. Une gamme superbe. Des "arabesques", c’est exactement ça !
RépondreSupprimerLa seule vue de la couleur des vrilles suffit à me faire saliver... Qui n'a jamais croqué ces petits brins délicieusement acidulés ? Dans tes balades au milieu des vignes, tu dois te régaler les pupilles et les papilles... Sur la deuxième photo, ces raisins verts, du coup, me font grincer des dents... ils me semblent bien avancés, par chez toi !?...
Les vrilles me rappellent les contorsions pas possibles qu'il m'avait fallu accomplir, couchée au sol, entre deux rangs de muscadet, pour capturer au mieux celles qui me serviraient à écrire mon prénom une fois les cinq photos assemblées...
Abécédaire calligraphié avec plume Sergent-Major... :D
Marthe Seguin-Fontes m'avait-elle, inconsciemment, inspirée ?
Je prends plaisir à te joindre ici une page extraite de ses "Lettres de mon Jardin". Pardon pour la longueur, mais cette page est faite pour toi :
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"La Vigne" (à Jean-Yves B. autrefois calligraphe)
Mon cher Jean-Yves,
S'il m'arrive, certes, de penser à toi, j'ai aujourd’hui une raison plus particulière de Ie faire ; c'est que je suis en contrariété avec ma vigne. Eh quoi ! toujours monter vers le soleil ! Moi qui la voudrais rampante et docile à habiller ma tonnelle !
Tu ne vois pas le rapport ? C’est que, précisément, en surveillant ces vrilles indépendantes qui refusent de m'obéir, je crois voir dans l'ombre verte comme le lacis d'une belle écriture.
En voici une qui projette son arc tendu terminé en crochet. N’est-ce-pas le jambage d'un A ? Une autre se divise en fourche ; ce pourrait être un y. Dans une boucle bien serrée je reconnais la cédille d’un grand C dessiné dans l'air. Un I et un L se sont agrippés, un V se renverse. Toute une phrase en lettres majuscules parle une langue indéchiffrable. Une guirlande de mots inconnus déploie ses paraphes sur le bleu du ciel. Il y a un message dans l’entrelacement de ces vrilles et, à mon avis, il signifie : "pourvu que Jean-Yves n'ait pas laissé
retomber sa plume, et que dans le monde affairé de Paris, il trouve encore du temps pour couvrir de courbes et de boucles les pages blanches comme il savait si bien le faire".
C'est le vœu que je forme pour toi.
À bientôt j'espère.
Marthe Seguin-Fontes - "Lettres de mon Jardin"
Dans nos promenades dans les vignes, il suffit d'une belle lumière pour que la moindre petite vrille s'anime et fait rêver à toutes les figures et écritures possibles.
SupprimerAlors toi, championne, tu as su écrire ton prénom ainsi ! Le résultat doit être fort beau !!!
Merci pour le texte de Marthe Seguin-Fontes qui en parle si joliment et qui provoque au jeu de déchiffrer tout un alphabet !
Merci Odile pour ta belle participation à ce billet !!!
SupprimerBonne maitrise de la jeune danseuse avec un beau départ et une belle arrivé sur une cinquième impeccable.
RépondreSupprimerJ'aime ce parallèle de l'image avec l'art cher à Marius Petipa... le bien nommé.
Courbes et volutes
RépondreSupprimerexposition d'Art Nouveau
vois ce vert divin
Les verts de ces deux photos sont magnifiques et la lumière sur la vigne et les arabesques parfaite. Un régal
RépondreSupprimerGracieux, délicat et de toute beauté !
RépondreSupprimerLa vigne vrille
RépondreSupprimerelle tortille ses crochets
s'arrime pour durer
elle sait que dans son corps
circule un trésor
Comme elles sont belles les pampres de ta vigne !
Je t'embrasse bien Fifi
Merci Fifi ! Ton blog est riche de tant d'échanges... C'est chouette .
RépondreSupprimerMa rose églantine fait partie d'une série dite "Les sauvageonnes", et se nomme Paris 2000
Bisous bisous
Marine
un petit coucou en passant...
RépondreSupprimer...noir c'est noir....
RépondreSupprimerSavourons ce que nous offre la nature et tous ces commentaires bien complementaires a ces belles photos.
RépondreSupprimer