Pour sûr, elle décoiffe ! cette splendide photo aux couleurs des quatre saisons.
Le vert printanier des sépales. Le jaune des pétales aussi lumineux que le soleil d'été. Le marron des capitules aux couleurs de feuilles d'automne La blancheur autour des sépales, aussi étincelante que le givre hivernal.
Oui, très joli...ce tournesol qui regarde ...le sol...:-)
Petit poème :
Cette fleur tellement vivante Toute jaune toute brillante Celle que les savants appellent Hélianthe Toi tu l'as appelée soleil... Soleil... Hélas! hélas! hélas et beaucoup de fois hélas! Qui regarde le soleil hein? Qui regarde le soleil ? Personne ne regarde plus le soleil Les hommes sont devenus ce qu'ils sont devenus Des hommes intelligents... Une fleur cancéreuse tubéreuse et méticuleuse à leur boutonnière Ils se promènent en regardant par terre Et ils pensent au ciel Ils pensent... Ils pensent... ils n'arrêtent pas de penser... Ils ne peuvent plus aimer les véritables fleurs vivantes Ils aiment les fleurs fanées, les fleurs séchées... . Jacques PREVERT.
De retour ici, je salue au passage la fleur pensive, légèrement décoiffée par un vent coulis bienvenu en cette nouvelle soirée de chaleur étouffante. En fait, je passe pour dire qu'il y a du nouveau au grenier au sujet de ton Petit Prince bleu. Cet après-midi j'ai essayé de mettre un nom sur le phénomène qui lui a donné naissance. Et puis j'ai fini par me souvenir d'une apparition du même genre sur le blog consacré à Venise par une autre copinaute. Schmoutzele, Fifi, bon dimanche malgré la chaleur (heureusement que Septembre s'annonce plus clément du point de vue des températures !)
Des mèches rebelles en effet, un peu rasta raide sur les bords (de la frange) dont dépassent deux petites oreilles vertes pointues et velues (à moins que ce soient des cornes ?)
"Ébouriffée" me rappelle un conte de la collection "j'aime lire". Il y avait une maison avec des fantômes, l'un avait une voix de crécelle, l'autre je ne sais plus, le troisième était appelé "ébouriffé" et était en réalité une plume de coq... J'aimais beaucoup cette histoire même si je l'ai oubliée. Il faudrait que je la retrouve (ainsi que d'autres)
Magnifique cette photo, Fifi ! Ça vibre, comme qui dirait, "au p'tit poil" ! Photo d'avant la canicule, sans doute, ou regain tardif de bourgeons de tiges ? De sa naissance à son déclin, le tournesol nous fait tourner le tête, à nous aussi... :-) Ici, actuellement, dans les champs non encore récoltés, les têtes lourdes et noires de graines sont tournées vers le sol. Je t'en envoie quelques unes de cette provision qui va, espérons-le, permettre d’aider les rescapées de l'année à assurer la reproduction de l'espèce au printemps prochain... Les temps sont durs, et la partie n'est pas gagnée pour la survie de ce petit peuple vaillant, mais tellement menacé par les chamboulements de toutes sortes. Bravo pour l'ébouriffé" qui prend place, dans la galerie, auprès du chardon du même nom... :)
Alors que “l’effrontée” continue son manège dans la maison dès que la porte est ouverte, les autres oiseaux, moins culottés qu’elle pour suivre son exemple, piaffent dehors, aux abords de la cabane où les provisions sont désespérément absentes. Il leur faudra pourtant se débrouiller jusqu’à l’arrivée du froid...
Très jolie, cette mèche!
RépondreSupprimerChouette cadrage .
Soleil décoiffé par le vent...
RépondreSupprimerLa luminosité des pétales vibre, comme une flamme, c'est magnifique!
RépondreSupprimerJOLIMENT ébouriffé
RépondreSupprimerUn grand sOleil joliment décoiffé !
RépondreSupprimermerci Fifi... pour ce soleil des jardins !!
bonne fin d'après-midi...
Den
Ce mèche à mèche ..c' est di grand art à la Fifi ...:-)
RépondreSupprimerSchmoutzele très très mouillés à tous les deux
Pour sûr, elle décoiffe ! cette splendide photo aux couleurs des quatre saisons.
RépondreSupprimerLe vert printanier des sépales.
Le jaune des pétales aussi lumineux que le soleil d'été.
Le marron des capitules aux couleurs de feuilles d'automne
La blancheur autour des sépales, aussi étincelante que le givre hivernal.
Chapeau ! Fifi.
Bises et belle fin d'août
Oui, très joli...ce tournesol qui regarde ...le sol...:-)
RépondreSupprimerPetit poème :
Cette fleur tellement vivante
Toute jaune toute brillante
Celle que les savants appellent Hélianthe
Toi tu l'as appelée soleil...
Soleil...
Hélas! hélas! hélas et beaucoup de fois hélas!
Qui regarde le soleil hein?
Qui regarde le soleil ?
Personne ne regarde plus le soleil
Les hommes sont devenus ce qu'ils sont devenus
Des hommes intelligents...
Une fleur cancéreuse tubéreuse et méticuleuse à leur boutonnière
Ils se promènent en regardant par terre
Et ils pensent au ciel
Ils pensent... Ils pensent... ils n'arrêtent pas de penser...
Ils ne peuvent plus aimer les véritables fleurs vivantes
Ils aiment les fleurs fanées, les fleurs séchées...
.
Jacques PREVERT.
Amitiés fleuries.
comme une flamme caressante ...superbe fifi
RépondreSupprimerDe longs cils recourbés
RépondreSupprimerSur le coeur de la fleur
Gorgé de sucs et de parfums
Regard de coeur
Ourlé de soie
La fleur du tournesol...
RépondreSupprimerRelu
regard intime
ourlé de soie
l'âme du tournesol...
Ta photo est merveilleuse Fifi !
Je pars vite...
Zoubis
Cueillir le vent et se laisser porter par lui, cela semble si bon.
RépondreSupprimerUn regard très attendri sur ce soleil.
C'est BEAU ! BEAU ! BEAU ! et très bien cadré aussi !
RépondreSupprimerUn coup de vent coquin souleva sa frange ,et son regard se fit plus intense...
RépondreSupprimerBelle image au cadrage remarquable
Joliment ébouriffé !
RépondreSupprimerBises
Sublime ébouriffure.,bonjour belge.
RépondreSupprimerhttp://louisette.eklablog.com blog de ma ville Mons
Mèche ensoleillée
RépondreSupprimerUn oeil tout noir te regarde
face à l'objectif
RépondreSupprimerOh Fifi prends garde
cheveu fou regard canaille
dans le vent d'été
Ebouriffé mais tellement beau !
RépondreSupprimermerveilleux..........et quelle photo
RépondreSupprimerWer das liest kann lesen.
De retour ici, je salue au passage la fleur pensive, légèrement décoiffée par un vent coulis bienvenu en cette nouvelle soirée de chaleur étouffante.
RépondreSupprimerEn fait, je passe pour dire qu'il y a du nouveau au grenier au sujet de ton Petit Prince bleu. Cet après-midi j'ai essayé de mettre un nom sur le phénomène qui lui a donné naissance. Et puis j'ai fini par me souvenir d'une apparition du même genre sur le blog consacré à Venise par une autre copinaute.
Schmoutzele, Fifi, bon dimanche malgré la chaleur (heureusement que Septembre s'annonce plus clément du point de vue des températures !)
Une magnifique image présentée par un très bon titre !
RépondreSupprimerEt un angle de prise de vue super bien choisi :-)
Des mèches rebelles en effet, un peu rasta raide sur les bords (de la frange) dont dépassent deux petites oreilles vertes pointues et velues (à moins que ce soient des cornes ?)
RépondreSupprimer"Ébouriffée" me rappelle un conte de la collection "j'aime lire". Il y avait une maison avec des fantômes, l'un avait une voix de crécelle, l'autre je ne sais plus, le troisième était appelé "ébouriffé" et était en réalité une plume de coq... J'aimais beaucoup cette histoire même si je l'ai oubliée. Il faudrait que je la retrouve (ainsi que d'autres)
SupprimerQue d'albums jeunesse nous avons aimé avec comme prétexte d'ouvrir l'esprit à nos enfants :-)
SupprimerUne belle prise de vue, originale à souhait !
RépondreSupprimerUn retour sur ton blog qui me ravit !
Magnifique cette photo, Fifi !
RépondreSupprimerÇa vibre, comme qui dirait, "au p'tit poil" ! Photo d'avant la canicule, sans doute, ou regain tardif de bourgeons de tiges ?
De sa naissance à son déclin, le tournesol nous fait tourner le tête, à nous aussi... :-)
Ici, actuellement, dans les champs non encore récoltés, les têtes lourdes et noires de graines sont tournées vers le sol.
Je t'en envoie quelques unes de cette provision qui va, espérons-le, permettre d’aider les rescapées de l'année à assurer la reproduction de l'espèce au printemps prochain... Les temps sont durs, et la partie n'est pas gagnée pour la survie de ce petit peuple vaillant, mais tellement menacé par les chamboulements de toutes sortes.
Bravo pour l'ébouriffé" qui prend place, dans la galerie, auprès du chardon du même nom... :)
Alors que “l’effrontée” continue son manège dans la maison dès que la porte est ouverte, les autres oiseaux, moins culottés qu’elle pour suivre son exemple, piaffent dehors, aux abords de la cabane où les provisions sont désespérément absentes. Il leur faudra pourtant se débrouiller jusqu’à l’arrivée du froid...
RépondreSupprimerL'angle d'attaque de la photo donne quelque chose d'humain au tournesol. Un visage solaire, lumineux!
RépondreSupprimerRiquet à la houppe ;-) J'aime beaucoup le cadrage de cette photo. Bravo, Fifi !
RépondreSupprimerUn regard aux cils d' or ... j' aime beaucoup ... :-)
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