Elle s'appelait Rose ma maman, c'était la meilleure des mamans.
Cela fait tellement longtemps qu'elle est partie
mais elle est définitivement présente
Rose Ô ma rose Joueras-tu au jardin Si je te le propose Dans ton habit satin ? Rose aux joues tu poses Ta robe aux quatre coins Ma belle et tendre rose Et sous le vent mutin Pourrais-je ce matin Respirer, si je l’ose Sous ton vertugadin ? Marine D
Avant de se mettre au vert, tricoter un pull-over, à l'endroit ou à l'envers, pour au chaud passer l'hiver. Au printemps, à découvert, filer au diable vauvert, n'importe où dans l'univers, à la suite des colverts.
De la palette , du peintre le vert s'étire en longues brindilles soyeuses et flexibles pour camoufler la gente ailée . Françoise du 80 Tiges et brindilles cachés partis les insectes au diable Vauvert Miss Yves
Entre le jaune et le bleu le vert est merveilleux Entre le soleil et l'eau le vert printemps renait Josette T
…Mais, vois ! le ciel serein ! la belle matinée ! Tout nous promet sur l’herbe une bonne journée. Viens-t’en ! fuyons la ville ! Amis au cœur joyeux, Allons vivre ! fermons nos livres ennuyeux ! Ensemble et seuls, allons sous l’épaisse ramure Prendre un long bain d’oubli, de calme et de verdure. Auguste Lacaussade, envoyé par Denise
Ma douce amie allons dans la verte prairie cueillir la fleur d'amour qui se cache et parfume le foin gorgé de fleurs... Marine D
Léger jeu de mikado dans la nature Lorsque dans une Verte ambiance feutrée Le flou des longues et fines feuilles Dresse ses pointes et s’équilibre. Tout bouge, frémit ; rien ne s’écroule. Les Vertes feuilles funambules s’élèvent En obliques, Vers le ciel, légèrement éclairées Ou bien jouent à pierre papier ciseaux ouverts. Maïté Aliénor
Le ciel est venu toucher la mer La mer est venue toucher la terre La terre est venue toucher le ciel Ciel, mer, terre s’enroulent sans fin Au rythme des allées de la marée Qui creuse ses sillons, qui peaufine ses chemins Qui sable ses reflets, qui satine ses basses eaux. Le ciel sans nuages serait dénué de vie. La mer sans tangage serait plate et fade La terre sans son sable perdrait nos traces. Ciel, mer, terre, un tout petit bout d’univers Un paradis aux lignes épurées pour ses amoureux. Maïté Aliénor
...Aussi loin que nous irons La mer et son tumulte Nous accompagnera Je veux entendre sa complainte Le bruissement de son écume Le vacarme de ses colères Sur les roches noires Auprès des îles effervescentes...
"Là-bas Tout est neuf et tout est sauvage Libre continent sans grillage Ici, nos rêves sont étroits C'est pour ça que j'irai là-bas" J.J Goldman envoyé par Odile
1 - Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. 2 - Or la terre était vide et vague, les ténèbres couvraient l'abîme, un vent de Dieu tournoyait sur les eaux. 3 - Dieu dit : Que la lumière soit et la lumière fut. 4 - Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres. 5 - Dieu appela la lumière jour et les ténèbres nuit. Il y eut un soir et il y eut un matin : premier jour. 6 - Dieu dit : Qu'il y ait un firmament au milieu des eaux et qu'il sépare les eaux d'avec les eaux et il en fut ainsi. 7 - Dieu fit le firmament, qui sépara les eaux qui sont sous le firmament d'avec les eaux qui sont au-dessus du firmament, 8 - et Dieu appela le firmament ciel. Il y eut un soir et il y eut un matin : deuxième jour. 9
- Dieu dit : Que les eaux qui sont sous le ciel s'amassent en une seule
masse et qu'apparaisse le continent et il en fut ainsi. 10 - Dieu appela le continent terreet la masse des eaux mers, et Dieu vit que cela était bon. (Genèse Chapitre 1)
Toi et le monde dans lequel tu vis n'êtes qu'un grain de sable sur
le rivage infini d'une mer infinie. » Et dans mon rêve je leur réponds :
« Je suis la mer infinie, et tous les mondes ne sont que des grains de
sable sur mon rivage. Khalil Gibran
"La mer aime le ciel : c’est mieux pour lui redire, À l’écart, en secret, son immense tourment, Que la fauve amoureuse, au large se retire, Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant.
Et la brise n’apporte à la terre jalouse, Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux : L’âme des océans frémit comme une épouse Sous le chaste baiser des impassibles cieux."