"La moindre joie ouvre sur l'infini"
Christian Bobin
Flaque irisée
la mer étend son drap
à l'heure des rêves
la mer étend son drap
à l'heure des rêves
“Quel vin est aussi pétillant, savoureux, enivrant, que l’infini des possibles !”
S.Kierkegaard
envoyé par Marie Paule
Les vagues ont repeint au rouleau une mer d'huile
Sylvain Tesson
envoyé par Enitram
Mille petits poissons blancs
comme si frétillait
la couleur de l'eau
Konishi Raizan (1654-1716)
envoyé par Tilia
S.Kierkegaard
envoyé par Marie Paule
Les vagues ont repeint au rouleau une mer d'huile
Sylvain Tesson
envoyé par Enitram
Mille petits poissons blancs
comme si frétillait
la couleur de l'eau
Konishi Raizan (1654-1716)
envoyé par Tilia
Très inspirant !
RépondreSupprimerBonne semaine Fifi.
Photo épurée qui est une merveille pour disserter sur l'infini. Je plongerai volontiers dans cette mer pour oublier tous les soucis. Merci pour cette très belle photo remplie de sérénité. Nous en avons bien besoin. A bientôt Fifi et belle semaine. Bises alpines.
RépondreSupprimerFlaque irisée
RépondreSupprimerla mer étend son drap
à l'heure des rêves
Une,photo sublime Fifi
Le bel infini déploie ses bras immenses sur cet instant qui glisse sur la mer.
RépondreSupprimerMerci à Jean-Marie pour la plénitude ressentie sur sa photo.
bisou Fifi.
Den
Un infini possible Fifi !
RépondreSupprimer“Quel vin est aussi pétillant, savoureux, enivrant, que l’infini des possibles !”
RépondreSupprimerS.Kierkegaard
Bonne semaine Fifi!
Sublime...
RépondreSupprimerUn partage ou l'on plonge avec délice.
RépondreSupprimerBoa tarde, a bela foto marca a diferença pelo enquadramento e cor, é uma beleza ver todo o mar a ser observado.
RépondreSupprimerFeliz fim de semana,
AG
Lumière magique ! Bravo au photographe.
RépondreSupprimerUne photo qui me fait rêver, un infini merveilleux où la lumière est de toute beauté. Merci au photographe d'avoir réuni le sable, la mer et le ciel avec une jolie silhouette.
RépondreSupprimerBisous Fifi ♥
Les vagues ont repeint au rouleau une mer d'huile.Sylvain Tesson
RépondreSupprimerPour moi, l'instantané photographique et le haïku japonais traduisent parfaitement la fugacité de l'instant :
RépondreSupprimerMille petits poissons blancs
comme si frétillait
la couleur de l'eau
Konishi Raizan (1654-1716)
Bonne journée, Fifi
L'immensité du ciel et de la plage et entre les deux une bande étroite d'océan...
RépondreSupprimerLa photo fixe un instant fugace qui sinon resterait dans l'oeil de celui qui est là et regarde, sans possibilité ensuite de le partager... mais pas de se souvenir
Partout du doré, silence et solitude...d'or? Espérons.
RépondreSupprimerJ'en perds les mots .... mag(n)i(fi)que !
RépondreSupprimerUn instant, une photo... Magnifique ! :-)
RépondreSupprimerLes tons de cet instantané sont sublimes et j'aime particulièrement la citation de Sylvain Tesson donnée par Enitram
RépondreSupprimerc'est très beau
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