La clarté ne nait pas de ce qu'on imagine le clair mais de ce qu'on prend conscience de l'obscur"
C.G Jung
Au bout des couloirs sombres
le passage s'éclaire
la lumière éblouit
j’entends les voix qui implorent
pour tous les souffrants de la terre...
Marine Dussarrat
Pourquoi Je vois la cornette vivement coiffée ..
Pourquoi j’entends le glissement de petits pas pressés ...
Pourquoi ...?
Le jour se lève ... la cloche sonne « Matine «
Elle ne sera pas en retard à l’office de la lumière .. ��
Mathilde
Rien n’est jamais entièrement noir. A. Einstein
Suzanne
Un colimaçon habituellement dévolu à l'ombre de l'ombre s'était pris d'amour pour une lampée de lumière opale le surplombant.Comme un point sur un i, une accroche du temps lapait un peu de la douceur qui irradiait chaque parcelle de pierre. Ainsi en était-il de la lampe improvisée , ainsi des angles de lumière qui se frottaient dans un soupir aux volutes menant au célestes pensées.
Maïté L.
Photo minimaliste mais ô combien réussie! Il y a toujours de la lumière quelque part, même dans les existences les plus sombres. Bises alpines et belle journée.
RépondreSupprimerJe me demande ce que c'est mais j'admire, c'est beau et minimaliste et les tonalités extra. Bonne journée Fifi
RépondreSupprimerJ'ai mis une autre image pour montrer l'endroit, Marie :-)
Supprimerau fil du temps la lumière apparaît
RépondreSupprimerCela s'éclaircit tout doucement :-)
SupprimerPourquoi Je vois la cornette vivement coiffée ..
RépondreSupprimerPourquoi j’entends le glissement de petits pas pressés ...
Pourquoi ...?
Le jour se lève ... la cloche sonne « Matine «
Elle ne sera pas en retard à l’office de la lumière .. ��
Un très bel angle de vue!!!
RépondreSupprimerRien n’est jamais entièrement noir.
[ A. Einstein ]
Fiat lux!
RépondreSupprimerSuspendu au-dessus de la baie éblouissante, telle une araignée au bout de son fil, le petit abat-jour semble perdu dans ce puits débordant de lumière et paraît bien près d'être englouti par la vague virevoltante des marches montant depuis les profondeurs de l'escalier.
RépondreSupprimerLa seconde photo m'a fait penser à la "Grande Vague de Kanagawa".
Belle et bonne fin de semaine, Fifi, grosses bises (un peu humides après le petit orage de cette nuit)
Le petit abat-jour ne manque pas d'attirer l'oeil :-)
SupprimerLes escaliers en colimaçon m'ont toujours fascinés.
Peut être parce que la nature nous offre de magnifiques exemples...sur la terre comme au ciel.
Nous retrouvons un bel exemple dans le mouvement de la Grande Vague de Kanagawa.
Bonne fin de semaine à toi !
Pour le moment nous avons du beau temps...
Bises alsaciennes ou schmoutzele, tu choisis :-)
Au moment où les jours raccourcissent si vite, voici une belle image pleine d'espoir-lumière.
RépondreSupprimerEffectivement, la clarté va se faire nettement moins claire avec les mauvais jours qui arrivent.
RépondreSupprimerLes jours vont se faire moins jours, la clarté va baisser en intensité.
Il faut se la faire dans le coeur et l'âme pour se sentir bien.
Bises
De biens jolis mots qui illuminent cet article!
RépondreSupprimerDans l'escalier se replier sur soi au fil des marches, puis d'un coup se déplier dans la lumière.
RépondreSupprimerLe mot abat-jour m'a toujours semblé... comment dire?, inopportun, voire violent. Ce "abattre"...mais ce minuscule de la photo permet d'apprécier encore plus la lumière.
Un beso, bon dimanche
C'est vrai, le terme est paradoxal. En allemand le terme "Lampenschirm" équivaut à "parapluie ou parasol de lampe" c'est moins violent :-)
Supprimer"Clarté" a tout de suite fait tilt, cela me rappelle l'un de mes livres préférés, "Adieu, vive clarté" de Jorge Semprun
RépondreSupprimerChacune de tes photos ont beaucoup de "classe" par leur sobriété et leur luminosité tendre. Très différentes l'une de l'autre, la première me fait penser à Miro qui a une exposition en ce moment au Grd Palais à Paris. Dans le journal il était opposé à Picasso autre espagnol. Je n'ai pas très bien compris mais même simplissimes ses toiles sont explicites. Je les trouve juste belles...
Je n'ai rien lu de Jorge Semprun. Que de livres auxquels il faut renoncer dans une vie !
RépondreSupprimerMiro est facile à aimer pour moi, je n'arrive pas toujours avec Picasso :-)
Minimalisme , profondeur, expression et pensée sont au rendez-vous !
RépondreSupprimerQue de beauté!
Au bout des couloirs sombres
RépondreSupprimerle passage s'éclaire
la lumière éblouit
j'entend les voix qui implorent
pour tous les souffrants de la terre...
Merci Marine !
SupprimerNous avons tous tellement besoin de clarté qui en fin de compte pourrait s'appeler, bienveillance.
Je t'embrasse !
Un colimaçon habituellement dévolu à l'ombre de l'ombre s'était pris d'amour pour une lampée de lumière opale le surplombant.Comme un point sur un i, une accroche du temps lapait un peu de la douceur qui irradiait chaque parcelle de pierre. Ainsi en était-il de la lampe improvisée , ainsi des angles de lumière qui se frottaient dans un soupir aux volutes menant au célestes pensées.
RépondreSupprimerMerci Maïté pour la poésie que tu offres au "colimaçon", elle aussi éclaire le coeur et l'esprit ♥♥
SupprimerMerci ma douce Fifi, oui souhaitons que les lampes de la générosité et du partage nous éclairent !
RépondreSupprimerBisous