Alors que “l’effrontée” continue son manège dans la maison dès que la
porte est ouverte, les autres oiseaux, moins culottés qu’elle pour
suivre son exemple, piaffent dehors, aux abords de la cabane où les
provisions sont désespérément absentes. Il leur faudra pourtant se
débrouiller jusqu’à l’arrivée du froid... Odile B