20 déc. 2011

sourire :-)




"Noël au pays
**
Noel avec deux étoiles sur le e
Deux petits points comme deux yeux

Sur le nez gelé
Des grandes cheminées
Mille pierres de lune scintillent

La robe de la nuit qui brille
Couvre de paillettes dorées
Tous les sapins étonnés

C’est Noël dans tout le pays

Sous le ciel du monde entier
Les enfants font des rêves de paix

Dehors le vieil homme tire un traîneau
- « Et pour toi, quel serait le plus beau cadeau ? »
- « Oh, deux étoiles et puis un vœu
Deux étoiles comme deux yeux
Qui me voient et me comprennent
Et me disent encore qu’ils m’aiment »

C’est Noël et nous sommes tous réunis"

Chantal Abraham



Les p'tits Père-Noël tout réjouis
Qui dans la vitrine vous sourient
Bonnets rouges et pompons blancs
Sur la mousse dressés bien droits
Gros nez rouges à cause du froid
Va bientôt neiger dans c'pays là !
 Christine
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Chanson pour les enfants l'hiver
Dans la nuit de l'hiver
Galope un grand homme blanc.
C'est un bonhomme de neige
Avec une pipe en bois,
Un grand homme de neige
Poursuivi par le froid.
Il arrive au village.
Voyant de la lumière
Le voilà rassuré.
Dans une petite maison
Il entre sans frapper,
Et pour se réchauffer,
S'assoit sur le poêle rouge,
Et d'un coup disparaît
Ne laissant que sa pipe
Au milieu d'une flaque d'eau,
Ne laissant que sa pipe
Et puis son vieux chapeau.
Jacques Prévert
envoyé par Claudie 

Anonyme 
Pépères
les paix-pères
Noël
têtes de bois
cœurs en joie
nez et bonnets
rouges
si rien ne bouge
en vitrine
tout est rires
le bonheur
nous invite
Pépères
les paix-pères
Noël
têtes de bois
cœurs en joie
nez et bonnets
rouges
si rien ne bouge
en vitrine
tout est rires
le bonheur
nous invite
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_________ ☆♥ *☆*♥☆
________☆*♥ (☆) ♥ * ☆
_______☆*♥ *(*☆*)*♥* ☆
______☆*♥☆*(** ☆**)♥*☆
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_____**JOYEUX NOËL **A vous tous et toutes !!
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"Au fil des beaux nez rouges
Les pompons font la tête
La tête de la joie
Qui salue pour la fête !"


17 déc. 2011

bosquets...

 


Vers le ciel aquarelle et délavé
Quelques arbres drus et crêpus
dardent leurs dents et longs cils d'hiver
pour peigner les collines et les nuages pressés.


Si le ciel parlait....
il dirait aux nuages
silenciels et sauvages
suspendez votre course!
écoutez donc la souffrance
des arbres aux longs cils
dans les mornes plaines
elle résonne haut,
par- dessus les monts et les vals
c'est le corset de l'hiver âpre
qui enserre leur corps chétif!
Claudie


"Silence d'automne

C'est le silence de l'automne
Où vibre un soleil, monotone
Dans la profondeur des cieux blancs ...
Voici qu'à l'approche du givre
Les grands bois s'arrêtent de vivre
Et retiennent leurs cœurs tremblants.

Vois, le ciel vibre, monotone ;
C'est le silence de l'automne.

O forêt ! qu'ils sont loin les oiseaux d'autrefois
Et les murmures d'or des guêpes dans les bois !
Adieu, la vie immense et folle qui bourdonne !
Entends, dans cette paix qui comme toi frissonne,
Combien s'est ralenti le cœurs fougueux des bois
Et comme il bat, à coups dolents et monotones
Dans le silence de l'automne !"
Fernand Gregh
 
 

14 déc. 2011

Noël bleu...








Blue Bubbles
Boules de lumières
Vive les leds


"la terre est bleue
comme une orange"... de Noël



Au pays du bleu
les sapins s'ombrent
bleu cône chapeau de Père
NOËL
et les bulles cactées
fontainent bleue la lumière
NOËL


Me mettre dans ta boule
et te faire la danseuse
Ta blue belle poule !



Ô Père Noël bleu !
à tournoyer dans tes cieux
j'en perds la boule !
Claudie


Boules-y-mis de lumières bleus...
qui brillent dans tes yeux...
Noël fait des heureux...


Je mettrai du bleu
en guirlandes dans tes yeux
et si tu as un peu froid
je mettrai de l'or au bout de mes doigts


Le noël sera bleu
pour chasser la peur
la cage est liberté
l'oiseau est enchanté
l'amour est heureux
d'être aussi aimé
Fantaisie des yeux
Rayons du coeur.
 





8 déc. 2011

en dents de scie...



Dent-elle de scie-aile
En faim de vie
La peau sur les os
Part... chemine...
Éblouie de lumière...
En scie lance


De ta tige détachée,
Pauvre feuille desséchée,
Où vas-tu ? - Je n'en sais rien.
L'orage a brisé le chêne
Qui seul était mon soutien.
De son inconstante haleine
Le zéphyr ou l'aquilon
Depuis ce jour me promène
De la forêt à la plaine,
De la montagne au vallon.
Je vais où le vent me mène,
Sans me plaindre ou m'effrayer:
Je vais où va toute chose,
Où va la feuille de rose
Et la feuille de laurier.
Antoine Vincent Arnault (1766 - 1834)
envoyé par Claudie 


Dents de scie en danseuse
Les feuilles et le temps
S'en vont au pas
Branche dessus, branche dessous
Cannes à bourgeons en berne
échasses chassant l'automne
vermeilles nervures
l'ombre vous poinçonne.


En ombre chinoise
Sur l'écran doré des feuilles
Nature s'amuse


"Silence d'automne

C'est le silence de l'automne
Où vibre un soleil, monotone
Dans la profondeur des cieux blancs ...
Voici qu'à l'approche du givre
Les grands bois s'arrêtent de vivre
Et retiennent leurs cœurs tremblants.
Vois, le ciel vibre, monotone ;
C'est le silence de l'automne.
O forêt ! qu'ils sont loin les oiseaux d'autrefois
Et les murmures d'or des guêpes dans les bois !
Adieu, la vie immense et folle qui bourdonne !
Entends, dans cette paix qui comme toi frissonne,
Combien s'est ralenti le cœurs fougueux des bois
Et comme il bat, à coups dolents et monotones
Dans le silence de l'automne !"
Fernand Greg
h


Le soleil est bon joaillier
avec la feuille fragile
et l'or de la lumière
il orne les vignes
d' un bijou
que bien des belles
aimeraient porter
à leur cou



Scier scier scier du bois
Pour la mère, pour la mère
Scier scier scier du bois
Pour la mère Nicolas !



C'est la vie, rugueuse ou tendre
qui coule en nos veines fragiles
ruisseau paisible, torrent imprévu
c'est la vie qui nourrit, qui engendre
et cisèle nos coeurs dociles
dents de scie, orfèvre inattendu !





6 déc. 2011

à bicyclette...



...Toi, tu me plais. Tu es agile,
Tu es fine et nerveuse
Comme l'hirondelle et comme les chevreuils;
Tu franchis vallons et collines;
Tu es ivre du moindre rayon de soleil matinal;
Tu es heureuse d'être libre,
Et de fuir par la campagne... "
Phileas Lebesgue



Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette...

Quand on approchait la rivière
On déposait dans les fougères
Nos bicyclettes
Puis on se roulait dans les champs
Faisant naître un bouquet changeant
De sauterelles, de papillons
Et de rainettes
Quand le soleil à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes
On revenait fourbus contents
Le cœur un peu vague pourtant
De n'être pas seul un instant
Avec Paulette
 
Yves Montand
envoyé par Claudie 



imagine
un vélo aux rayons
si longs
que ces sillons
imagine
un vélo
et si nous pédalions ?


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