Dans les maisons la lumière...
Dans les maisons la lumière par instants
Vient des étangs qui creusent le vallon
Entre les blés, les sapins et les vignes
Des éclats de soleil comme des éclats de vitre.
Eugène Guillevic
envoyé par Denise
La maison se dessine
Blanche et imperméable
Dans les lignes de l'eau
Cette mise en abîme
Je toiture en voisine
La flottille du beau
Véronica
La maison se dessine
Blanche et imperméable
Dans les lignes de l'eau
Cette mise en abîme
Je toiture en voisine
La flottille du beau
Véronica
Je divague parfois
à l'orée du grand bois...
J'y vois le fantôme noyé
de ma maison rêvée...
car y vivre sans toi
ne donne plus de joie...
ou...version moins mêle-en-colique:
car y vivre sans toit
me donne pluie de joie!
Claire Fo
La maison a franchi les roseaux et s'en est allée dans l'eau.
Elle a la peau ridée, la porte sens dessus dessous
On y vient à pied, couvert de gouttes d'eau
Quand sa jumelle se dresse sur le coteau.
Maïté Aliénor
Nichée sa tendre douce
Elle se mire sa vie
Et poursuit son courant
Annick
Blanche demeure
Derrière la dentelle des branches
Se reflétant avec grâce
Dans l'étang tout proche
Elle attend , elle espère
Ouvrir portes et fenêtres
Aux rires et aux cris des enfants
Marine D
une maison au bord de l'eau
pour entendre chanter la rivière
tout près d'un bois ,d'un boqueteau
pour entendre chanter les oiseaux
et ouvrir ses volets à la lumière
Amichel
Presque les pieds dans l'eau, la jolie maison blanche
Se mire et se prélasse au fil du doux courant
Une fenêtre s'ouvre à travers quelques branches
Pour attirer vers elle le regard des passants.
On doit y être bien, on doit sur sa pelouse
Dîner tranquillement le soir d'été venu
Mais l'automne la pare de jolies teintes rousse
Et dépose autour d'elle un tapis tout moussu.
Marie LC, 6 novembre 2012
De l'autre côté
de l'eau aux reflets troublants
qui habite là
Miss Yves
à l'orée du grand bois...
J'y vois le fantôme noyé
de ma maison rêvée...
car y vivre sans toi
ne donne plus de joie...
ou...version moins mêle-en-colique:
car y vivre sans toit
me donne pluie de joie!
Claire Fo
La maison a franchi les roseaux et s'en est allée dans l'eau.
Elle a la peau ridée, la porte sens dessus dessous
On y vient à pied, couvert de gouttes d'eau
Quand sa jumelle se dresse sur le coteau.
Maïté Aliénor
Nichée sa tendre douce
Elle se mire sa vie
Et poursuit son courant
Annick
Blanche demeure
Derrière la dentelle des branches
Se reflétant avec grâce
Dans l'étang tout proche
Elle attend , elle espère
Ouvrir portes et fenêtres
Aux rires et aux cris des enfants
Marine D
une maison au bord de l'eau
pour entendre chanter la rivière
tout près d'un bois ,d'un boqueteau
pour entendre chanter les oiseaux
et ouvrir ses volets à la lumière
Amichel
Presque les pieds dans l'eau, la jolie maison blanche
Se mire et se prélasse au fil du doux courant
Une fenêtre s'ouvre à travers quelques branches
Pour attirer vers elle le regard des passants.
On doit y être bien, on doit sur sa pelouse
Dîner tranquillement le soir d'été venu
Mais l'automne la pare de jolies teintes rousse
Et dépose autour d'elle un tapis tout moussu.
Marie LC, 6 novembre 2012
De l'autre côté
de l'eau aux reflets troublants
qui habite là
Miss Yves