Voilà l'image que j'ai reçue cette semaine dans ma boite mail. Impossible de la garder pour moi.
La photographe est mon amie Lili, vous vous souvenez de son "automne-hiver" publié "au fil..."
Belles fêtes de Pâques à vous tous !
Belles fêtes de Pâques à vous tous !
A l'occasion de Pâques, pour accompagner la colombe de Lili, Odile m'en a également envoyé quelques unes de sa collection qui nous parlent de Paix et de Liberté. L'une, attrapée aussi en plein vol dans le ciel, avec un rajout de quelques touches de "pinceau", et d'autres dessinées, gravées, ou ciselées dans la coquille d’œufs divers (caille, poule, oie...) Qu'est ce qui, mieux que la colombe, peut symboliser la Paix et la Liberté ?
La colombe
J’ai pris ma plus belle plume
Pour illustrer la paix
C’était une plume en or
Comme on n’en voit jamais
Je l’ai trempée dans l’Amour
Pour que disparaisse la Haine
Je l’ai posée sur ma feuille
Pour que disparaisse l’Orgueil
Mais malgré tout l’or de cette plume
Elle s’est brisée sur le bitume
C’est là que j’ai compris
Que ce qui compte n’est pas la plume
Mais l’âme de celui qui la tient
Car même si ma plume est brisée
Ce texte m’appartient
C’est là que j’ai compris
Que ce qui compte n’est pas rêver
Mais prendre en main son destin
Car même si ma plume est brisée
Mon avenir m’appartient
J’ai pris une simple plume
Pour illustrer la paix
Juste une simple plume blanche
C’était celle d’une colombe
Elle me l’a donnée
Puis s’est envolée
Elle a disparu
Sous le ciel étoilé
Jamais je ne l’ai revue
Depuis que l’on s’est quittée
Mais parfois dans le vent
Je crois entendre son chant
Un chant doux et léger
J’ai voulu reprendre
Ma belle plume blanche
Pour illustrer la paix
Mais je l’avais tant usée
Que j’ai eu peur
De la briser
La colombe
Je l’ai enfin revue
Elle a repris sa plume
Et m’a suppliée
Que ce texte
Lui soit dédié
Elle s’est enfuie
Vers la lumière
Elle a disparu
Sous le soleil
Myriam Jeanmonod
envoyé par Denise
Envolée lyrique
esquissée sur champ d'azur
en signe de paix
Miss Yves
Des ailes pour elle
message subliminal
flouté dans le bleu
Miss Yves
"Le ciel est le pain quotidien des yeux"
Ralph Waldn Emerson
envoyé par Claude
Un envol qui laisse à la pensée la liberté de s’épandre et de fondre dans l’espace
Thérèse
Je connais les brumes claires
La neige rose des matins d'hiver
Je pourrais te retrouver
Le lièvre blanc qu'on ne voit jamais
Mais l'oiseau, l'oiseau s'est envolé
Et moi jamais je ne le trouverai
Car j'ai vu, l'oiseau voler
J'ai vu l'oiseau, je sais qu'il partait
Je l'ai entendu pleurer
Le bel oiseau que le vent chassait
René Simard
envoyé par Claire Fo
Mais quand viendra-t-elle,
évanescente colombe,
la paix sur le monde ?
Tilia
"L'oiseau s' envole là bas là bas l'oiseau s' envole et ne revient pas ..."
envoyé par Josette
Léger comme l'air
L'oiseau-mystère
Survole le monde
D'un grand coup d'aile
Puis s'effiloche
En une seconde
Sous le souffle cruel
De la bise qui s'approche...
La Licorne
Lili a vu une colombe
toute en nuage dans le ciel
effilochée de plumes
aérienne, symbolique
juste une prière à partager
juste un espoir éphémère
Marine D
"Comme un souffle fragile,
ta parole se donne,
Comme un vase d'argile
ton amour nous façonne"
envoyé par Naline
Douces figures poignardées, Chères lèvres fleuries
Mia Mareyette Lorie et toi Marie
Où êtes-vous Ô jeunes filles !
Mais près d’un jet d’eau qui pleure et qui prie
Cette colombe s’extasie
Tous les souvenirs de naguère jaillissent vers le firmament
Et vos regards en l’eau dormant meurent mélancoliquement
Ô mes amis partis en guerre
Où sont-ils Braque et Max Jacob Derain aux yeux gris comme l’aube ?
Où sont Raynal Billy Dalyse dont les noms se mélancolisent
Comme des pas dans une église
Où est Grémnitz qui s’engagea.
Peut-être sont-ils morts déjà.
De souvenirs mon âme est pleine
Le jet d’eau pleure sur ma peine.
Ceux qui sont partis à la guerre au Nord se battent maintenant
Le soir tombe Ô sanglante mer
Jardins où saignent abondamment
le laurier rose fleur guerrière.
Guillaume Apollinaire -
La colombe poignardée et le jet d'eau
envoyé par Lyse
Blanche colombe, nuée sur fond azuré
De ton bec effiloché tu sembles chercher
Le fin rameau symbolisant la paix.
D’un battement d’ailes tu t’élances
Dans un courant ascendant, tu danses,
Vers les cieux où sommeille la paix.
De volutes en cadence, de rideau en transparence
Te voilà, tel un messager, un reflet de nos rêves
Les plus fous, ceux auxquels il faut penser
Pour les voir un jour se matérialiser.
Blanche colombe, nuée sur fond azuré
Si tu devais renoncer à sauver l’humanité
Nous serions tous orphelins sur cette terre
Nous serions tous abandonnés à notre triste sort
A nos pulsions terrestres, les plus viles,
A notre condition d’humains rampants :
Œil pour œil, dent pour dent, pas de sentiment
Et détruire tout ce qui nous avait été prêté.
Heureusement notre regard nous porte
Vers les hauteurs où tu nourris nos espoirs.
Toi qui généreusement te fonds dans la lumière
Donne-nous la grâce, inonde notre cœur, fais-nous solidaires.
Maïté Aliénor
Vers moi
Ta solitude
Qui borde les collines
Arpente les rivières.
Vers toi
Mon envol
Ta sérénité lointaine
L’ardeur flamboyante du jour
La finesse ourlée de la nuit …
Saravati
Un nuage est entré dans un oiseau
"Où est la vérité ?" a demandé
l'homme "Dans l'oiseau ? Où
dans un nuage ?" Et tandis que
l'homme cherchait la réponse
l'oiseau est sorti du nuage et a fait
sortir la vérité de l'homme.
Uma nuvem entrou num passaro.
"Qual a verdade ?" perguntou
o homem. "Esta no passaro ? Ou
esta numa nuvem ?" E enquanto
o homem procurava a resposta
o passaro saiu da nuvem, fazendo
com que a verdade saisse do homem
Nuno Judice
Vienne, vienne la colombe
Et son rameau d'olivier,
Dans nos cœurs et dans ce monde
Où la paix reste à gagner.
1.- Qu'elle apporte sa lumière
Pour éclairer nos maisons,
Au-delà de nos frontières
Au-delà des horizons.
2.- Qu'elle habite un nouveau rêve,
Celui que chante un enfant
Celui d'un jour qui se lève
Quand s'annonce le printemps.
3.- Vole, vole, chante et danse
Dans un ciel de liberté
Dans un ciel de tolérance
Le plus beau chant, c'est d'AIMER !
Jean-Claude Gianadda
envoyé par Martine
Comment faut-il faire pour dessiner un nuage ?
C'est assez simple,dirait Saint-Ex au petit Prince,
Tu prends le dessin du mouton,
Tu le gonfles comme un ballon
Oublie de le faire mince ,
Et mets le en haut de la page .
- Et comment dessiner la liberté ?
Tu laisse s'envoler des colombes
En oubliant qu'il y a un crayon dans ta main,
Comme si tu étais un magicien
Et que jamais les oiseaux ne tombent,
Et qu'ils volent sans s'arrêter...
- Comment savoir s'il est fini ?
Tu continues, jusqu'à ce que tu sois fatigué.
Les colombes seront si nombreuses,
Qu'elles formeront une nébuleuse,
Et on ne pourra plus distinguer
les orages : la liberté ayant tout envahi.
ReChab
Vienne, vienne la colombe
Et son rameau d'olivier,
Dans nos cœurs et dans ce monde
Où la paix reste à gagner.
1.- Qu'elle apporte sa lumière
Pour éclairer nos maisons,
Au-delà de nos frontières
Au-delà des horizons.
2.- Qu'elle habite un nouveau rêve,
Celui que chante un enfant
Celui d'un jour qui se lève
Quand s'annonce le printemps.
3.- Vole, vole, chante et danse
Dans un ciel de liberté
Dans un ciel de tolérance
Le plus beau chant, c'est d'AIMER !
Jean-Claude Gianadda
envoyé par Martine
Comment faut-il faire pour dessiner un nuage ?
C'est assez simple,dirait Saint-Ex au petit Prince,
Tu prends le dessin du mouton,
Tu le gonfles comme un ballon
Oublie de le faire mince ,
Et mets le en haut de la page .
- Et comment dessiner la liberté ?
Tu laisse s'envoler des colombes
En oubliant qu'il y a un crayon dans ta main,
Comme si tu étais un magicien
Et que jamais les oiseaux ne tombent,
Et qu'ils volent sans s'arrêter...
- Comment savoir s'il est fini ?
Tu continues, jusqu'à ce que tu sois fatigué.
Les colombes seront si nombreuses,
Qu'elles formeront une nébuleuse,
Et on ne pourra plus distinguer
les orages : la liberté ayant tout envahi.
ReChab